[RP] Depot des candidatures pour devenir camelot dans la compagnie

Messages : 596 Date d'inscription : 26/02/2009

Cher Nike,

je peux vous faire déjà une proposition,
j'ai un champ pour lequel je ne cherche plus de travailleurs car régulièrement les SA ou les italiens ont pris l'embauche.

Si on peut fixer un rendez vous, je veux bien vous embaucher deux fois par semaine à un tarif un peu elevé,
si cela peut vous aider au moins un peu, mais il faut qu'on trouve un rendez vous à une heure où peu de personnes sont en ville.
Sinon vous pouvez me contactez directement aussi par mésange (voir dans mon profil).

De l'autre part, je sais que notre avoyère, si vous êtes vraiment dans les problèmes, elle peut peut-être aussi aider un peu.
Pour l'instant je ne peux vous proposer que ça, deux embauches par semaine sur mon champ.

je suis malheureusemen encore coincée 13 jours à Annecy et moi meme je vais tenter à fuire ce jour que je serai retablie.

Messages : 5 Date d'inscription : 27/01/2011

Merci beaucoup Dame Gaia,

J'apprécie enormément votre aide car je vais peut-etre pouvoir survivre a l'occupation apres tout. Une bonne Genevoise ma aussi fais la proposition de travailler sur son champ, sa devrais me donner un bon coup de pouce.

Et notre avoyère m'a deja beaucoup aidé avant la bataille, ce sera plus difficile pour elle maintenant que Genève est tombée. J'ose pas trop la déranger avec mes problèmes personnels.

Cordialement,

Nike va-nu-pied de Genève

Messages : 184 Date d'inscription : 15/08/2011

φῶς ... je répétais sans cesse ce mot. Et d'autres.

Petits bouts épars reliés sous les noms que les hommes donnent à Dieu.

Chose étrange en la Cité, où l'aide de la Cité ne pouvait se faire que sous les noms de Dieu.

J'en avais été atterré : le chemin vers Dieu me semblait si long ... et chaque pas faisait découvrir un carrefour.

Lier Dieu et la Cité me semblait tellement incongru ! Entre le chemin de l'homme vers Dieu, et celui des hommes vers Dieu, il y avait une dimension politique autant que spirituelle et ... profanatrice également.

Je fis un pas ... Introibo ad altare Dei ... s'avancer ver l'autel de Dieu pour ressentir Sa joie ... la partager ... être ... et apprendre à vivre ensemble, embrasser la Cité comme ce lieu où vivre et s'épanouir ensemble. Deux chemins parallèles. Un seul ?

Je m'arrêtai.

J'avais beau lire les pages du Livre ... cela restait pour moi mosaïque de paroles et d'idées, reliées par l'ombre de l'image de Dieu.

Et dans les relations entre les hommes eux-mêmes, tout n'était que mosaïque de gens, liés par les sentiments, l'amour le plus souvent. L'amour des autres, l'amour des siens, l'amour de soi, ou quelque chose entre tout cela, qui participait de tout, qui le transcendait, qui nous laissais pétris de nos contradictions et de nos errements.

Quelques fois, au gré de la vie, trouver un lien, le voir fugacement s'illuminer, avoir une vision de la Beauté.

Je regardai le chemin ...

Route caillouteuse ... et fleuve furieux. Le chemin vers les gens. Le chemin vers Dieu. Il y en avait tant. Mais pour les gens de la Cité, il n'y en avait qu'un. C'était ainsi.

Je fis un pas, un nouveau.

Puis m'arrêtai.

Non ...la Cité les hébergeait tous. C'était une des choses qui me plaisait en elle. Une des principales choses qui me plaisait. Cela ne m'aidait pas vraiment mais ... c'était bien.

Je souris. Il était étrange de voir comment les hommes de Dieu professaient Sa Parole ou des règles qui, en somme, permettaient aux gens de vivre ensemble.

Il y avait ensuite ce moment où les prêtres décimateurs faisaient passer la sébile ... même si l'argent récolté était voué au bien de tous ... selon les caprices des clercs toutefois. J'en avais vu de bien "capricieux", devenus apôtres dans l'art de presser un écu jusqu'à ce qu'il grince ...

Etait-ce mieux ici ? Une autre manière, mais toujours cette nécessité de financer la vie ensemble. Le lien avec Dieu était plus diffus. Mais tout reposait sur la valeur des gens, ici aussi. Y en avait-il des "capricieux" ?

J'en connaissais quelques uns ... qui ne l'étaient pas.

Je fis un pas ...

... et encore un.

Nous étions tous frères sous le regard de Dieu. Mais nos chemins étaient nos chemins d'hommes vers Lui. Et non ... et non Ses chemins à Lui.

Il y avait quelque chose de touchant à nous voir aspirer à Lui. Fols que nous sommes, à nous débattre sou Son regard.

Le chemin vers Dieu ... le chemin des hommes.

Je souris.

C'était ainsi. Nous ne pouvions nous mettre à sa place. C'était une chose que j'aimais bien ici ... pas un prélat pour dire ce que la Parole de Dieu disait, commandait, ordonnait, mais plutôt ... et bien, pour ce que j'en avais vu, une manière de tenter de l'appréhender.

Le Verbe ... ou Dieu ? Encore une chose à débattre ...

Un pas ... encore un.

Et arriver au carrefour de la foire.

Bonjour, je suis Iskander, berger à Genève.

J'aimerais devenir Camelot.

Puisqu'il semble qu'être réformé est un préalable pour devenir Camelot, je suppose que nous devrons parler de Dieu d'abord, un certain temps.

Pouvez-vous me recevoir pour cela ?

Messages : 249 Date d'inscription : 12/10/2011 Localisation : Entre terre et mer

Le passé c'est passé, passons donc cette porte

Salvé la compagnie ! Faire bref c'était le meilleur à tenir

Le vieux est dans le coin?

J'aimerai devenir une sorte d'ambuleuse ambulante entre la Catalogne et L'Helvétie. Nous manquons sérieusement de pierres là bas, j'achèterai bien une mine de cailloux dans le coin...

Claude Messages : 11774 Date d'inscription : 01/10/2010

Gniiiiiiii Gniiiiiiiii Gniiiiii.... Cendres avançait. Doucement.
Il avait entendu quelqu'un appeler dans une salle dont il avait oublié l’existence.
Une salle toute au fond du fond. Un lui qui n'avait pas été nettoyé, pas rénové.

Merde... Une marche...

Marche arrière rapide.
Gnii gnii gnii gnii.
Cendres prend de l'élan pour faire passer son fauteuil roulant.
Gnignignignigngni.

Chblame !*

Putain de salope je vais lui faire la peau !

APPORTEZ MOI UN CANON ! Y'A UNE MARCHE QUI FAIT CHIER !!!

Cendres relève le nez en regardant Ophy. Position basse en contre plongée qui aurait plus à Archibald.

Salvé la Catalane.
Quel vieux tu veux ?
Le prophète ?
Le pervers ?
Le religieux ?
Le méchant ?
Ou l'intellectuel ?

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Surtout, ne pas se casser la gueule.
Surtout, ne pas se casser la gueule...
Surtout...
...
Et merde...

Messages : 249 Date d'inscription : 12/10/2011 Localisation : Entre terre et mer

ça sent la poussière dans le coin, visiblement à vue de nez les derniers pas ayant errés ici étaient ceux d'un berger, des boulettes de poils de moutons ornent sur le sol Isk !

Gnii gnii gnii gnii.
Gnignignignigngni.

Ah ! un truc qui grince, approche en fauteuil roulant couinant, de l'embrasure, je crois reconnaître un être pas complètement invalide, de sa verve en tout cas.

Salvé l'un des vieux, c'est toi Cendres ?

Tout de même....les années font des ravages. Avant toute réponse, Ophy s'offre le luxe d'admirer un crane dégarni et bien lustré, situé à peine une coudée sous son nez.

Ta question me fait rire car tous les vieux sont un peu, prophètes , pervers, religieux, méchant, intellectuels et j'en passe !
Tu peux même rajouter causifiant !

Alors je vais m'offrir le luxe de tous les vouloirs !

Je veux juste un vieux con et pétant qui me trouve de quoi faire rouler des pierres jusqu'en Catalogne

Se tire un tabouret poussif d'un coin et s'assoit à hauteur de regard face à de Cendres

Claude Messages : 11774 Date d'inscription : 01/10/2010

Toujours part terre

Ah... De la pierre.
Tendue des braies ton histoire.
J'ai souvent essayé de relancer ce commerce entre la Catalogne et la Confédération, j'ai toujours fait choux blanc. La confédération est limité depuis que les mines sont moins rentables.

Faudrait qu'on se renseigne sur les stocks.
Après les convaincre de vouloir vendre.

Tu as de quoi transporter ?
Depuis qu'on s'est fait couler par 7 Italo-Normands, on a du mal à prendre la mer...

Reste au sol

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Surtout, ne pas se casser la gueule.
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...
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Messages : 249 Date d'inscription : 12/10/2011 Localisation : Entre terre et mer

Songe un instant à le sortir du raz de terre, puis finalement se dit qu'il n'est pas encore mort et que vue d'un tabouret tout lui sied bien.

Tendue des braies mon histoire ? Ne serait-ce pas plutôt ta vue décroissante qui t'a clouée le bec à ne pas répondre à certains pigeons il fut un temps !?

Coule Ophy, respecte... tu as devant toi à terre un des vieux en qui tu as porté gloire il y a longtemps.

Ne jamais jauger plus haut ou bas que soi, je m'assois finalement par terre, là où Déos nous conduira tous un jour, avant de nous élever dans le jardin des délices.

Enfin assise par terre....

J'ai de quoi transporter oui, tu as une attirance pour les galères ou bien les caraques, les naves, les foncets on oublie...

Laisse son sourire flotter face aux yeux troubles

Claude Messages : 11774 Date d'inscription : 01/10/2010

Les nonnes ne distribuent pas le courrier. D'ailleurs ces crevures m'ont jeté à la fausse commune alors que j'étais encore vivant... 1464 ne fût pas une année ensoleillée...

Bref...

On va se renseigner, quand j'étais Chancelier, on démontait les maisons pour avoir de la pierre. Ils ont peut être fait des progrès dans la gestion des mines.

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Surtout, ne pas se casser la gueule.
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Messages : 249 Date d'inscription : 12/10/2011 Localisation : Entre terre et mer

Heureuse de te voir sorti de chez les zombis, à ce demander qui t'achèvera...

Bref...

Je suis dans le coin si tu as besoin de deux bras et une tête de pioche.

Lov'symbol Messages : 3250 Date d'inscription : 11/10/2013

Regarde le vieux grabataire au sol et se dit qu'il doit avoir une bonne vue d'où il est

Je reviens du conseil. Ils achètent, ils vendent pas. Sauf du sel.
Va foutre du sel dans les fondations d'une mine au bord de mer...

A première vu, en jetant un œil sur les stocks et l'entretien des mines, ils essaient de garder entre 450 et 550 caillasses. Ils jonglent entre les ouvertures et fermetures.

ça n'a pas changé.

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El Cabron

Messages : 249 Date d'inscription : 12/10/2011 Localisation : Entre terre et mer

Je vois l'Archi arriver qui regarde la direction du regard du vieux...

Croisement de jambes.... tout en étant assise, je rabats mes jupons discrètement sur mes cuisses.

Sourire oblige aux déclarations de l'Archibald sur l'état des stocks.

Si l'état des caillasses n'a pas changé en tout cas comme prévu j'arrive à Genf dans 2..3 ou 4 jours et et et etc

Lov'symbol Messages : 3250 Date d'inscription : 11/10/2013

Je surveillerai de temps en temps et essaierai de me placer au conseil de manière à faire un intermédiaire entre ici et là bas quand nous serons arrivé làbas.

Posé à Genève, je ne bouge pas en vous attendant.

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El Cabron

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