[RP] l'Aristotélité, ce vaste monde [...] le Royaume de France

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2010-04-01 17:01:28
Abdication du Roi de France
PARIS (AAP) - Selon une information exclusive de la rédaction, le Roi de France, Sa Majesté Lévan III de Normandie, a l'intention d'abdiquer. Sans descendance, il a désigné comme successeur le Grand Duc de Bretagne.

Devant le conseil des feudataires, la pairie et la curia regis réunis en conseil extraordinaire, Lévan a annoncé avoir assez profité du pouvoir dont il dispose en tant que roi, et s'avoue las des troubles qui agitent en ce moment le royaume. Il évoque ainsi en vrac la guerre en Provence, les exactions du Lion de Juda, et la félonie des provinces vassales de l'Alliance du Ponant.

Évoquant aussi des raisons morales et altruistes, le Roi explique qu'il espère que son «abdication en faveur du grand duc de Bretagne permette au royaume de France de tirer un trait sur une page sombre de sa longue histoire, ». Une déclaration publique est attendue d'ici la fin de la semaine.

Kartinal, pour l'AAP

Comme par hasard le premier avril...
Y'a pas un article de l'AAP qui précise que Cromwell vient d'être nommé évèque?

J'y penserai pour l'année prochaine...

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02-04-2010 : Démenti - Abdication du Roi

PARIS (AAP) - Le 1er avril, une dépêche faisait état de l'abdication de Lévan, roi de France. Il se trouve que l'évènement annoncé est totalement imaginaire et que jamais rien de la sorte n'a eu lieu. Un poisson pourri s'est mystérieusement retrouvé dans les bureaux de l'Agence. Les fortes effluves s'en dégageant ont malheureusement eu une influence considérable sur l'état mental d'un rédacteur, qui a écrit ce jour-là une dépêche sur la prétendue abdication du Roi.

L'AAP s'excuse de cette erreur gravissime et espère que celle-ci n'aura pas eu des conséquences irréversibles.

La rédaction de l'AAP

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26-05-2010 : Combat entre l'ost du Poitou et des réformés
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Poitiers (AAP) - L'ost poitevin aurait intercepté plusieurs sicaires du Lion de Juda en début de semaine.

La bataille aurait eu lieu près de Saintes, et aurait opposé l'armée "Phénix de Saintes" de messire Theodebert à un groupe mené par le célèbre sicaire Sancte Iohannès - commandant du groupe mercenaire de l'Advocatus Diaboli, accompagné de plusieurs de ses hommes. En réalité, le sieur Iohannès et ses compagnons escortaient la comtesse Agnès de Saint Just, qui venait de quitter ses fonctions de comtesse du Béarn, et sa suivante, Dame Mélina, quand ils ont été attaqués par l'armée poitevine, qui a vraisemblablement cru à une attaque des réformés.

Apparemment, tous les membres du groupe auraient été blessés et seraient actuellement en convalescence à Angoulême. Seul sieur Sanctus, autre membre bien connu des lions de Juda, s'en serait sorti indemne.

Netto, pour l'AAP

La princette s'offusque. Elle défendra l'Anjou corps et âme, malgré l'hérésie du conseil angevin. On dit qu'elle fourbit les armes pour se lancer dans une nouvelle affaire contre la Franche-Comté. Deos sait si cette affaire ne va pas réconcilier français, angevins et bretons. A moins qu'elle n'exacerbe encore les vieilles rancoeurs. L'avenir nous le dira...

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Aux autorités francomtoises ;
Aux membres des deux armées francomtoises ayant pénétré illégalement sur les terres du Royaume de France ;

Vous n'êtes pas sans savoir qu'entre la Franche-Comté et le Royaume de France, se trouve une frontière.

Vous n'êtes pas sans savoir que cette frontière détermine avec grande précision là où s'arrête votre pouvoir décisionnel, tout comme votre territoire, et votre pays.

Vous n'êtes pas sans savoir qu'envoyer des armées et qui plus est des armées agrémentées, sur le sol d'un autre pays, est une déclaration de guerre dans les faits.

Vous arguerez sans doute de la Croisade de cet hiver ? Aucune importance : ceux qui s'y trouvaient savent très exactement comment les choses se sont déroulées, et les bannières croisées étaient bel et bien réelles, et baillées par un Cardinal, responsable par ailleurs des Sainctes Armées. Ce que les vôtres ne sont pas.

Allez-vous parler de la Provence ? Aucune importance, non plus. La Provence est terre félonne, et c'est en compagnie d'impériaux que des volontaires français s'y sont rendus.

Reste que vous avez envoyé deux armées sur nos terres, sans en avoir le droit. Reste que cet acte ne saurait demeurer sans conséquences, à moins d'un geste plus que fort de votre part, le seul admissible étant le retrait immédiat de l'agrément donné à ces deux armées, ainsi qu'un ordre formel à leur encontre de démantèlement ainsi que de retour chez vous. Nous vous accordons le droit de prier pour eux que rien de fâcheux ne leur arrive en chemin.

A-contrario, s'ils persistent, ils deviendront la cible de tout ce que nous comptons de forces armées. De même, si vous refusez de céder à nos exigences, vous aurez à en payer le prix.

Nous sommes tous conscients que c'est en réponse à la prise de votre château, et visant l'Anjou, que vous agissez. Cependant, rien ne vous donne droit de vous faire justice en le Royaume de France. De cela vous devez conserver une conscience aigüe.

Le délai concernant le présent ultimatum sera fort court, pour des raisons évidentes de protection du Royaume. Il sera très précisément de 48 heures après réception de la présente, concernant la Franche-Comté. Concernant les armées sur notre sol, il n'y a aucun délai, et nous exigeons dès à présent qu'elles baissent pavillon et prennent le chemin du retour.

Fait à Paris, le 9 de juin 1458,

Armoria de Mortain,
Grand Maître de France

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13-06-2010 Le Franc Comte somme le Maine de laisser passer ses armées franches

DOLE (AAP) - Le Franc Comte, Debenja de Riddermark, régnant de Franche-Comté, a signé le dimanche 13 juin une déclaration lapidaire dans laquelle il somme le Maine de laisser passer les deux compagnies franches mandatées pour aller guerroyer en Anjou au nom de la Franche-Comté. Il réaffirme la volonté pacifiques de ces armées à l'égard du Maine, rappelant ainsi implicitement que leur seul but est l'Anjou, mais prévient le comté du Domaine royal qu'un refus d'obtempérer se solderait par «la mise à terre des forces qui barreraient chemin [aux troupes franc-comtoises], et la mise à sac [du] comté.»

La comtesse du Maine, Lys Monty de Saint-Pierre, a répondu dans la journée. Elle refuse de plier devant les prétentions comtoises, considérant que les armées sont entrées illégalement sur le territoire de la Couronne, et prévient que les menaces de pillage à l'encontre un comté du Domaine royal sont un défi lancé au Roi de France Lévan.

L'envoi par la Franche-Comté des deux compagnies franches, la «Maxima Sequanorum» de Franche-Comté, dirigée par Lothilde, et les mercenaires helvètes de la «Compagnie franche de l'Edelweiss» dirigée par Caméliane de Grandson, est la conséquence du pillage de la capitale de Franche-Comté à la mi-février 1458, par des brigands venus principalement d'Anjou et dirigés par la pair de France Kilia et l'actuel duc d'Anjour Aurélien.

Kartouche, pour l'AAP

C'est une blague, les gens, faut pas vous exciter. En plus, ça saut aux yeux. Debenja, il est pas franc-comte, il est seulement régent.

Ah, les mercenaires suisses, une fois de plus...

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Prise du château de Rouen

ROUEN (AAP) - Dans la nuit du 2 au 3 juillet, le château de Rouen a été pris par un groupe mené par Timonstre de Oudalle et du Loup d'Argent, l'ancienne rectrice de l'Université de Normandie récemment condamnée pour haute trahison. Le nouveau Conseil ducal issu de cette révolte comprend onze personnes, à savoir trois Normands, trois Bretons, un Suisse [NdK : Oce6], un Artésien, un Savoyard [NdK : Leprieure], un Flamand et un moine de l'Abbaye de Tastevin. Seuls les fonctions de procureur, juge, prévôt, connétable et commissaire au commerce ont été attribuées.

Une fois son action réussie, Timonstre s'est adressée officiellement au peuple normand pour expliquer son geste. Elle a déclaré s'être révoltée pour mettre fin au règne du duc Filsdhelios de Blonville, qui selon elle insulte et bafoue trop de monde. Elle considère que s'en était assez et qu'il était temps que cela se termine. Elle explique que par son geste, elle a rendu la Normandie aux Normands.

Le duc Filsdhelios a réagi en condamnant l'installation au pouvoir de Bretons, et plus particulièrement à la charge de commissaire au commerce, ce qui annonce selon lui un pillage des entrepôts ducaux. Il a également déclaré que la révolte a enlevé la Normandie aux Normands et que Timonstre a trahi le duché pour une seconde fois. Se considérant toujours comme le légitime duc de Normandie, il a proclamé la loi martiale, fermé les frontières aux étrangers, convoqué le ban, mobilisé les armées et autorisé les maires à mettre en procès les acteurs de cette révolte.

La population a accueilli la prise du château de manières diverses : certains sont heureux de voir que Filsdhelios n'est plus au pouvoir, demandant même sa mise en accusation afin de le condamner à mort, tandis que d'autres se lamentent de la prise de château, qui va entrainer de nouveaux problèmes pour le duché.

Pacome, pour l'AAP

j'me disais bien qu'océ mettait du temps pour nous ramener Leprieure. Je pensais à une sieste crapuleuse qui aurait un peu duré, mais pas à un coup d'état!

Quoi qu'il en soit, je ne doute pas que leurs intentions soient bonnes, et qu'ils l'ont fait au nom de Déos

Quand même, Oce et Lep, je n'y aurais pas cru !
Mdr

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A Rhiana de Hasselt de Rosslyn, Duchesse de Touraine.
Aux Feudataires du Royaume de France.
Au peuple de France.

Nous, Sa Majesté Levan III de Normandie, par la grâce de Dieu, Souverain du Royaume de France. Que tous et chacun qui auront lu ou entendu lecture du présent édit sachent ceci:

Qu'il ne saurait être dit que le Roy de France ne portera pas assistance et soutien à l'un de ses vassaux qui aujourd'hui doit faire face à la menace conjuguée de troupes angevines et étrangères, ces dernières ayant pénétré sur le territoire du Royaume de France en violant sciemment sa souveraineté territoriale. Si tant est que les événements aient opposé le duché de Touraine à celui d'Anjou, nous aurions été enclin à considérer ce conflit comme une guerre privée. Mais la présence illégale d'une armée bretonne, repue d'arrogance à l'égard de mes vassaux, nous engage à honorer nos devoirs de Suzerain envers mon vassal, la Duchesse de Touraine dans l'épreuve qui l'accapare.

Si dans le passé notre haute bienveillance, nous a poussé à faire preuve de tolérance et à ne pas répondre aux provocations récurrentes de l'Alliance du Ponant, jusqu'à même accepter des aménagements politiques en signe d'apaisement, dûment ignorés par les régnants des provinces françaises du Ponant. Aujourd'hui les évidences s'affichent clairement laissant apparaître le véritable visage de la dite Alliance, qui comporte en son sein nombre de va-t-en-guerre, dont le seul dessein n'est autre que de mener les armes et la guerre en notre bon Royaume de France, quitte à sombrer dans la sédition, le parjure et le mensonge. Mais les bruits d'armes qui s'élèvent au delà de l'Anjou, en Poitou ainsi qu'en Berry ne laissent que peu d'espoirs sur les intentions pacifiques de leurs commanditaires.

Il ne sera pas dit que la Couronne de France sera la première à verser le sang, l'angevin Eikorc ayant attaqué la ville de Chinon, l'Anjou est aujourd'hui reconnu comme l'agresseur du duché Touraine. Tous arguments visant à justifier l'intervention des forces armées dites du Ponant françaises et étrangères au nom d'un accord défensif, ne pourront être considérés que comme fallacieux et éhontés. Nous engageons nos, encore, vassaux des provinces françaises du Ponant à faire preuve de discernement et d'abandonner leurs dangereuses chimères guerrières et prions pour nos sujets en les provinces concernées, que nous savons fidèles à la Couronne de France, et entraînés contre leur volonté par leurs régnants sur la voie du déshonneur.

Qu'il soit su, que nous ne coifferons pas le Sieur Finam d'une quelconque qualité et encore moins de la couronne ducale d'Anjou. Celui qui vola notre maison, n'y mérite aucune place et encore moins de reconnaissance.

Nous sommons donc la Bretagne de retirer immédiatement son armée d'Anjou et ce jusqu'à ses terres. Nous mandons aux régnants des provinces du Domaine Royal, à nos fidèles vassaux des Provinces de France de se préparer à soutenir, à travers la Couronne de France, le Duché de Touraine au nom de la Souveraineté de notre Royaume, de l'honneur et de la fidélité. Que tous nos sujets prennent la mesure du danger qui menace l'intégrité de nos terres, de notre identité et ce pourquoi nos pères et mères se sont toujours battus.

Dès à présent, nous apporterons tout notre soutien, militaire, politique, économique et diplomatique au Duché de Touraine. Nous ferons sous peu prochaine déclaration pour complément.

SMLIII

Oups.

Citation :

Nous Monseigneur Lyonis d'Appérault, Premier Vice-Primat de France, Evêque de Périgueux,

Aux autorités Ducales de Normandie,
A Sa Grace Alizarine d'Everlange, Duchesse de Normandie,
A tous ceux qui lieront cette déclaration,

Estimons que suite à la sauvage attaque du Primat, Monseigneur Odoacre, et de Père Lotx il reste inacceptable que des Clercs, et de surcroît un Primat, ne puissent pas voyager, même en l'absence de laisser-passer, sans se faire agresser avec une telle violence comme l'ont connu Monseigneur Odoacre et Père Lotx.

Nonobstant la situation nocturne, les soldats auraient du voir en s'approchant des deux Clercs qu'il ne s'agissait pas de vagabonds mais bel et bien de Clercs de l'Eglise Aristotélicienne, dont je le rappel faisait parti le Primat de France. Or, en l'espèce il n'en n'a été rien, et les Soldats se sont rués sur Monseigneur Odoacre comme sur n'importe quel contrevenant à la législation locale.

Où sont la tempérance et l'Amitié Aristotélicienne ? Nous ne voyons dans cet acte que de la colère, péché privilégié de la Bête sans nom. Nous ne pouvons pas permettre un tel déni des vertus Aristotéliciennes, et de surcroît volontaire et inconditionnée de Monseigneur Odoacre et du Père Lotx.

En conséquence, nous demandons des Autorités normandes, par sa représentante Sa Grace Alizarine d'Everlange, des excuses publiques immédiates pour les lourdes atteintes commises en Province Normande à l'encontre de Clercs de l'Eglise Aristotélicienne.

Qu'Aristote puisse vous guider vers la raison

Faict à Rome le 29 Mars 1459,
Monseigneur Lyonis d'Appérault

Laissez-les faire, ça sent la bavure, y z'ont bavé !

Citation :

Où sont la tempérance et l'Amitié Aristotélicienne ?

En vacances à Genève...

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20-04-2011 Le Maine devient-il Anjou ?
Le Mans (AAP) - Alors qu'une fois encore, le Maine traverse une crise politique interne, la Duchesse d'Anjou, Salebete de Kreneg-Monfort, a fait publier, le 15 Avril de ce moi, une annonce signée ou elle disait "Une nouvelle ère a sonné pour le Maine et pour vous. Soumettez vous à mon autorité, toute résistance serait futile.
Angevins vous deviendrez cela ne fait plus aucun doute. ". l'AAP est partie à la rencontre de Monsieur Michel, président d'un parti politique Mainois.

Monsieur Michel, qui répondra aux questions de l'AAP, donc, a été cité dans l'annonce de la Duchesse d'Anjou, et pour cause, celle-ci dit être directement liée au parti politique Vox Populi, dont il est le président : "Dans le cadre des accords passés avec la liste Vox Populi, je vous invite a voter immédiatement pour eux, vous ne pouvez plus faire marche arrière, l'inévitable se produira car tel est mon désir! "

AAP : Bonjour Monsieur Michel, merci d'avoir accepté de répondre aux questions de l'AAP, une courte présentation pour nos lecteurs ?

Michelmichel :B'jour m'sieur, je suis Michelmichel, Mayennais, fleuriste de formation et président du Vox Populi, parti neuf se présentant aux élections comtales en Maine. J'ai été maire d'la belle bourgade d'Montmirail et suis actuellement sergent d'la garnison d'Mayenne.

AAP : Le Maine est secoué par divers évènements et troubles, pouvez vous nous en dire plus ?

Michelmichel : N'effectivement, une bande d'energ'humaines, dirigée par un Servan, quelques Mainois, mais surtout beaucoup d'étrangers, met le souk en Maine : appel et menace de révolte, irrespect du coutumier sur de nombreux points, insultes, ... le tout avec l'appuie écrit de la duchesse d'Anjou.

AAP : Vous dites que la Duchesse d'Anjou est impliquée ?

Michelmichel : Impliquée oui, je suppose qu'elle doit être liée à ces brigands, brigands à qui j'ai clairement signifié que si la liste Vox gagnait les élections et que j'avais à finir Comte, ça s'rait pas à coup d'corpus que je les renverrai chez eux, mais à coup de charrettes, coincées entre quatre planches de sapins Mayennais et Montmiraillais.

De fait La Duchesse tente de faire croire aux Mainois que je suis affilié à elle, ce qui est totalement faux, j'ai jamais eu l'occasion d'mettre un pied en Anjou, et si j'ai à r'voir un pied angevin fouler l'sol du Maine avec de mauvaises intentions j'risque fort de l'désolidariser du corps de son propriétaire. Le Maine a assez subi les railleries, assauts et autres actes malfaisants de l'Anjou.

Et la plupart du temps sans trop savoir comment réagir, L'Maine n'laissera plus son territoire violé par n'importe qui. Une annonce qu'elle a transmise en gargote Mainoises avec l'aide de ses amis, précise comme j'vous l'ai dit précédemment qu'elle est alliée avec moi et mon parti, c'qui est un beau mensonge. Y'a probablement qu'elle qui semble pouvoir y croire vu l'tête d'la lettre envoyée.

AAP : Quels sont les termes exacts employés ?

Michelmichel : En gros, l'dame affirme que si j'arrive au pouvoir, je vais vendre le Maine à l'Anjou et qu'ainsi les Mainois deviendront Angevins. Vu l'tournure des évènements, l'inverse me semble nettement plus d'actualité.

AAP : Vous disiez donc briguer le trône Comtale, quels seraient vos projets pour les relations entre Maine et Anjou si vous veniez à remporter les élections ?

Michelmichel : M'projets évolueront selon les réponses que le Maine recevra de l'Anjou. S'il y a volonté de conciliation, nous serons conciliant, s'il y a encore menaces, attaques, ça s'ra du oeil pour oeil, dent pour dent. Chaque coup porté trouvera une réponse double.

AAP : Un mot pour finir, un message à faire passer ?

Michelmichel : Le Maine est et doit rester fier de c'qu'il est, tendre vers le "mieux" dans les domaines qui lui font défauts, mais surtout, il doit enfin s'imposer au sein du Royaume, n'pas être une simple lavette.

AAP : Merci d'avoir répondu aux questions de l'AAP !

Michelmichel : D'rien m'sieur !

Propos recueillis par Th, pour l'AAP

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De Nous, Sa Grasce Raithuge Authieux, Duc du Lyonnais-Dauphiné,
à la lumière de son Conseil et de sa Chancellerie

À l'intention de la Sainte Curie,
À l'intention de la Confédération Helvétique et sa justice multiples cantonales,
A tous ceux qui liront ou ouïront

Saluons d'une part le choix de l’Église de formuler des excuses à la Savoie pour la violation de son territoire par deux armées battant pavillons croisés. Cet acte constituait une négation de la souveraineté de tout un peuple sur ses terres et ne saurait être justifié par un quelconque empressement. Le Lyonnais-Dauphiné est attaché à ce que l'intégrité des territoires d'une couronne alliée de longue date soit respectés au même titre qu'il défend farouchement ses propres terres. Nous ne pouvons donc qu'être rassuré de voir que la Sainte Église Aristotélicienne, par le voix de son Vice-Primat francophone, Son Excellence Monseigneur Aymé Von Frayner-Embussy dict 'UterPendragon', reconnaisse que la provocation et l'entêtement ne peut servir aucune cause, et que la dialogue et le respect doivent toujours primer dans les relations entre le pouvoir spirituel et temporel.

D'autre part, nous accueillons avec stupeur la nouvelle de l'emprisonnement de son Éminence le Cardinal Mrgroar Von Valendras par la justice Hélvète. En effet, comment ne pas partager l'émoi qui semble gagner de plus en plus de provinces face à la condamnation sans égard d'un Prince de l’Église.

Au delà de cela, il semblerait que cette affaire s'enferme maintenant dans la folie. En effet, comment qualifier autrement un réquisitoire réclamant rien de moins que la mort. Nous tenons à rappeler à la Confédération Helvétique, que la nécessaire protection de ses intérêts que nous comprenons ne peut, et ne doit, en aucune circonstance, sombrer dans la folie que serait de prendre la vie d'un si haut Dignitaire Aritotélicien.

Nous espérons que la Justice Helvète ne se laissera aveugler et n'allumera aucun feu qu'il serait difficile à éteindre lors du jugement du Cardinal, Prince de rang, et qui ne pourrait être acceptée par le communauté des fidèles Aristotéliciens dont fait partie le Lyonnais Dauphiné.

Faict au Castel de Lyon, le huitième jour de juin de l'an mil quatre cinquante et neuf.

Sa Grasce Raithuge Authieux, Duc du Lyonnais-Dauphiné,



Son Excellence Tenshikuroi Deschenaux, Chancelier du Lyonnais-Dauphiné

Réponse

Citation :

A Sa Majesté Béatrice Ière, Reyne de France,
Aux Grands Feudataires du Royaume,
Au fier et brave peuple berrichon,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,


Nous, LLyr di Maggio et d'Astralgan, Duc de Touraine, et de ce fait, digne vassal de la Couronne de France ;

Considérant que l’ultimatum donné par la Sa Majesté au Régent du Berry Georges le Poilu pour se retirer du trône qu’il occupait illégalement est arrivée à son terme,
Considérant qu’en refusant de se plier à l’ordonnance royale, le Duc d’Aigurande s’est rendu de facto traitre et félon à la Couronne de France,

Informons que la Touraine, première défenseuse de la Royauté, a donc pris sur elle de faire justice et de prendre en main l’outrage fait à la Couronne.
Qu’en conséquence, plusieurs de ses armées ont traversé il y a plusieurs heures les frontières berrichonnes, en vue de renverser le Poilu dans les plus brefs délais.
Dans la seule et unique optique d’y installer un nouveau gouvernement berrichon légitime, reconnu, accepté, composé uniquement de Berrichons fidèles à sa Majesté.
Il est en effet grand temps que l’ordre, la justice et la morale règnent sur le Royaume de France. Et que les félons, et tout autre nuisibles soient jugés, comme il se doit.

Qu’il soit donc su de tous et de toutes que la guerre entreprise contre le Poilu n’est en aucun cas une guerre contre le Berry, mais une guerre contre la félonie.
Avérée, déclarée et affirmée.

Ainsi, tout Berrichon portant les couleurs de la Royauté et souhaitant participer à la destitution du Félon Poilu sera considéré en ami par nos armées.
En revanche, tout Berrichon qui prendrait parti pour ce Traitre sera considéré à son tour comme un ennemi de la royauté, et sera de facto châtié par nos troupes.

Pour la France ! Pour la Reyne ! Pour Dieu !


Faict à Tours, le vingt-septième jour du mois de juin de l’an de grâce 1459.

LLyr di Maggio et d'Astralgan
Duc de Touraine

Voila, c'est la guerre en Berry depuis une huitaine. On y retrouve les capitaines Burin Khazad de Fourchaud et Namaycush d'Aubusson dans le camp royal. La reine Beatriz est alitée et en retraite toutefois. On ne sait pas trop qui dirige les affaires.

J'ai trouvé ça sur l'AAP, tout est dans le titre:

Citation :

07-07-2011 Une Comtesse issue d'un Mouvement de Réforme


Auch (AAP) - C'est en le trentième jour du mois de juin de l'an de grasce mil quatre cent cinquante neuf qu'un nouveau Conseil Comtal fut élu en Armanhac e Comenge, regroupant cinq membres du "Parti pour le Comté et son Peuple", quatre membres du "Mouvement de Réforme" et trois membre de la liste "Armagnac Forte et Prospère".

Lors du prime tour pour le choix de la Comtesse, les trois testes de liste, Eléïce de Valten (Linoa), Héraut du Comté et Dame de Tyx, Isabelle de Bourguon (Lolafemina), Dame de Nagiscarde, et Firielle de Castel Vilar (Firielle), Duchesse de Donostiri, Vicomtesse de Gimoez et Dame de Cazarilh, postulèrent pour le trosne. Chaque conseiller ayant voté pour sa teste de liste, les Armagnac et Comminges eurent droit à un second tour. Au terme duquel les membres élus du parti AFP votèrent pour la Dame de Nagiscarde et lui permirent ainsi d'accéder au trosne.

Ainsi les postes purent-ils estre attribués après la démission de la Duchesse de Donostiri - qui avait prévu de partir en voyage commercial si elle ne montait pas sur le trosne - qui laissa sa place au Seigneur de Chevellerie, Aymeric_de_Mistra. Ce dernier récupéra le poste de Commissaire au Commerce cher à la dicte Duchesse. L'accompagneront à l'économie la Dame de Tyx en tant que Bailli et le Sieur Rambaldi qui, quant à lui, gèrera les mines. Niveau sécurité, la Capitainerie sera confiée au Duc du Lude Philipaurus Mattei Dénéré et la Connétablie au Sieur Distephano Pendragon. Et c'est la fille de la démissionnaire, la Damoiselle de Saint Martin Gimois, Angecassis de Castel Vilar de La Duranxie de Lasteyrie (Angecassis_lasteyrie), qui héritera de la Prévosté. Son père Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie, Duc de Donostiri, Vicomte de Gimoez et Seigneur de Cazarilh, s'occupera de la Procure tandis que le poste de Juge sera tenu par le Sieur Greg., tous deux Conseillers militaires lors du précédent mandat. La Voix du Conseil sera le Sieur Adenet tandis que Dame Paquerette, épouse de Philipaurus, et Dame Jehane_Louise, maire d'Auch, assureront la suppléance. À noter également que la Dame de Sadournin Cleopatre2 de Payns conservera la teste de la Chancellerie.

L'AAP informe que les frontières armagnacaises sont toujours fermées pour le moment et qu'il faut obtenir un laissez-passer auprès du prévost pour pouvoir séjourner ou passer sur ces terres.

RCV, pour l'AAP.

Bien dommage. Je suis en train de me promener par là bas. Il y a besoin d'un coup de main avec une plume ou une épée au bout ? C'est selon la nature des besoins.

Il paraît que la reine est morte.

La Reine est morte, vive la reine !

Il paraît qu'on peut aller se recueillir sur sa tombe à Nevers (lieu d'origine) et qu'on y gagne en charisme (+15points, mais limité à une seule fois)

Citation :

12-07-2011 Vous vous êtes recueilli sur la tombe d'un roi.

L'évènement n'est pas de moi, mais je sens que je vais aller me recueillir à mon retour.

Sinon, je suis à Langres, en Champagne, ou j'ai eu la surprise de voir que le fribourgeois Brunovonquerfurt s'était fait élire aux élections municipales dernièrement contre une ...sédunoise.

Citation :

1. Brunovonquerfurt : 63.2%
2. Aalanna : 36.8%

Ce qui lui a valu d'être demis de son poste par le conseil et remplacé par la révolte par son adversaire.
Le motif : selon le codex, il n'a pas un mois de résidence en Champagne^^, plus une étiquette de brigand sur le front. Ceci dit, il a semble t'il, sauf erreur, participé à la prise de Langres par l'Eldorado fin juin.
L'autre candidate, qui est critiquée pour son incompétence et son manque de diplomatie a été mandaté par le conseil.

Dommage que nous soyons arrivés trop tard, on l'aurait aidé à tenir la mairie.