[RP] L'aristotélité, ce vaste monde [...] la Confédération helvétique

C'est pas à la Suisse qu'il faut poser la question.
C'est à moi !

La réponse est indubitablement oui.
Sinon, nous n'aurions que faire des avoyeries, des cures, des conseils...

Y'a pas de taudis en Suisse. Les pauvres, on les envoi en Savoie pour expier leurs bouderies.
Certains y vont d'eux même.

http://www.degloriaregni.com/KAP/index.php?id_depeche=89911

Citation :

18/06/1466 ça décapite à Sion

Sion (AAP) - Les événements s’enchaînent à Sion dans la Confédération helvétique. Le canton était devenu depuis plus de deux ans une monarchie indépendante aux mains des Renards et de leur chef Sambre d'Hellequin, Prince du Valais. Ce dernier régnait en souverain sur ce confetti des Alpages de septante âmes. Mais Sambre s’est un jour retiré, laissant les siens sans véritable héritier.

Or, l'hiver dernier, l’Hydre, un groupe de brigands libertaires et opportunistes à la réputation fumeuse a ressuscité. Jugeant la Confédération helvétique corsetée et la souveraineté des cantons bafouée, la confrérie de fripouilles sanguinaires et autres malandrins romantiques s'installe d'abord à Grandson puis à Sion et y fait élire un des siens, Fernand. L'homme s’attelle alors à la rédaction d’une nouvelle constitution rétablissant la République et éradiquant la monarchie héréditaire du Renard.

En mai, un certain Gracchus Beauregard, dont l’appartenance à l’Hydre n’est pas assurée, prend la succession de Fernand à l'avoyerie, maintient le nouveau cap et enfonce le clou. Grand, blond, la quarantaine. il a plutôt une belle gueule. L'homme est connu pour ses vives apostrophes en gargote helvétique où il lance régulièrement des accusations contre le Fatum qui gouvernent à Fribourg,

Au nom d'une obscure « Société des Égaux » qui semble vouloir lutter pour la défense des libertés des Suisses, le tribun entend rétablir par la Terreur s'il le faut, la pureté originelle d'une Confédération idéale, maculée aujourd'hui par des expatriés aux mœurs françaises un peu trop aristocratiques à son goût.

Le 10 juin dernier, coup de théâtre. Beauregard publie un décret réclamant la dissolution des deux armées renardes encore présentes dans la ville. Après une altercation assez vive avec Chevron, l’un des chefs de ces armées. Blanchi sous le harnois, le vieux et sévère routier entend qu'on y mette les formes mais finit par obtempérer. Dans la nuit du 16 au 17 juin, des combats ont lieu entre les défenseurs de la ville et la seconde armée dirigée par Moummoutt qui succombe. Au petit matin, l'armée D.T.C commandée par le capitaine Galovert reste seule maîtresse du statu quo.

Petit rapporteur pour l'AAP, agence Meuse, Saône et Rhône


[RP] Propositions pour la nouvelle constitution de Sion : http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=2371208
[RP] noyé dans un tonneau de bière http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=92142230#92142230

http://www.degloriaregni.com/KAP/index.php?id_depeche=89932

Citation :

19/06/1466 l'Eglise tire à boulet rouge sur l'Empereur.

Rome (AAP) - En ce triste jour du 15 juin 1466, les Aristotéliciens sont en colère.

En colère contre l’Empereur du Saint Empire Romain Germanique. Le titre d’Empereur de cet Empire est normalement gage d’un certain respect des valeurs Aristotéliciennes. Il n’en est rien. Si Estevan de Mortelane, Cardinal Primat du Saint Empire et Sa Grâce Halderann di Cesarini Duc de Savoie, ont pu croire que l’Empereur Freas Von Araja était revenu vers l’Eglise Aristotélicienne comprenant son erreur lorsqu’il avait décidé de rompre le concordat, le clergé est désormais convaincu qu’il vient de se détourner de Rome une nouvelle fois.

Les deux éminentes autorités interrogent : son acte de nommer Charlotine une Réformée, sur le siège de l’évêché de Genève est-il dû à l’action du « sans nom » sur sa personne ? A-t-il été abusé par l'hérésie résidant à Genève ? Ou bien pensait-il pouvoir régler ce conflit à travers une alternance de siège entre les Réformés et l’Eglise Aristotélicienne ? Le Duc son vassal, est lapidaire : il n'a pas été écouté tout comme les Savoyards. Le jeune souverain de dix-neuf ans n'a pas entendu davantage Son Éminence le Primat du Saint Empire Romain Germanique malgré ses conseils avisés depuis de nombreuses semaines. Pour ne pas dire des mois.

Il est clair que l’Eglise ne peut rester impassible devant cette initiative malheureuse qui favorise la Réforme au détriment de l’Eglise Aristotélicienne. Le prélat sermonne : l’Empereur vient de violer la Magna carta ! En effet ce document indique clairement que l’Empire est Aristotélicien. Or en nommant une Réformée sur un siège épiscopal, le monarque vient de violer la loi la plus sacrée de l’Empire. Ceci en plus du dogme Aristotélicien dont il se revendique pourtant le fervent serviteur.

Le Cardinal redoute encore que désormais Genève pourra imposer la foi Réformée à Annecy, seconde paroisse du diocèse, lors des messes et des confessions. Il invite le clergé de la ville à faire pression coûte que coûte pour imposer un curé Aristotélicien. « Nous, Son Éminence Estevan de Mortelane, Cardinal Primat du Saint Empire annonçons que la Curie se prononcera prochainement sur ce cas afin de prendre une décision sur cette affaire. Nous annonçons également que les négociations ouvertes y a quelques jours portant sur la réforme du concordat entre l’Empire et l’Eglise sont largement compromises. Nous ne pouvons accepter de tels actes de la part d’un Empereur Aristotélicien, souhaitant faire respecter les lois des Hommes dans son Empire, alors qu’il ne le fait pas lui-même. »

Soucieux, il alerte : « Je m’adresse maintenant à n’importe quel régnant de province. Estimez-vous normal que l’Empereur agisse sans jamais demander conseil ? Engageant vos provinces sur des situations périlleuses. Oui l’Empereur a été élu. Mais il reste nécessaire qu’il respecte son serment vassalique. Tout comme le font ses vassaux. C’est un principe de réciprocité. »

L’assemblée Épiscopale du Saint Empire rappelle enfin à l’Empereur que sous la mandature de l’ancien évêque de Genève Monseigneur Rodrigue nul veto n’a été mis par celui-ci sur Genève. Ceci dans un esprit de tolérance, ceci pour apaiser les tensions. A la place il n'a récolté de la part de certains Genevois extrémistes que le pillage constant du diocèse et des préparations d’opérations militaires pour attaquer la Savoie. Il ajoute enfin que Genève se prépare à faire la guerre en préparant ses troupes sous la bannière de la générale réformée Nemyt.

Estevan pour l'AAP, agence Meuse, Saône et Rhône

Avant quand on disait des vérités que l'on ne pouvait pas confirmer, on s'en prenait plein la gueule et il fallait revoir son article.
Maintenant, on laisse dire des conneries, et ça passe.
Dommage, car dans son ensemble, l'article était pas mal. Mais le dernier paragraphe, c'est juste de la merde et je regrette que l'on laisse sortir un article laissant apparaître de la certitude quant à certains faits, alors que ce n'est que de la supputation, émise par une bande de crétins qui ne digère pas que l'on ne se soit pas prosterné à leurs pieds.
Rien que pour ça, j'admire le nouvel Empereur

A nous de faire faire un article sur la tenue du Diocèse.
Izaac ?

L'argent part dans l'armée du Lion de Juda qui protège son Diocèse.
Avoir un certain nombre de guerrier sur le parvis coûte cher.

La dite armée n'a pas pillé lorsque R0drige était en place, elle a gardé les écus sous scellée et a harcelé l'ennemi de la vraie foi. Le rôle des Réformés est d'apporter une liberté de religion à qui ne veut pas être manipulé par de faux prophètes qui parlent à la place du très haut. Rome est l'ennemi de la Réforme, l'ennemi de Genève pour avoir tenté de la piller pendant des années avec ses prétendues guerres sainte. Rome a été virée de Genève, elle n'y est plus la bienvenue, qu'elle pourrisse la Savoie, peu nous importe. Le conseil de Savoie est libre de vivre dans la tromperie et la décadence de Rome.

A ce jour le diocèse est non seulement bien gardé, mais aussi bien géré. Les derniers bénéfices ont permis de relever la situation de certains nécessiteux. Aide au passage de niveau si cela était dans la voie de l’église, un travail régulier à ceux qui souhaitaient surveiller le parvis, une donation à la trésorière de l'avoyerie de Genève afin qu'elle puisse acheter les cueillettes destinée au prestige du Conseil Confédéral. Une mise en place du remboursement des prières pour le perdant est en réflexion et enfin un commerce d'exportation est en projet. Si Deos veut.

Une erreur a été tout de même commise, mais Deos en a voulu ainsi.
Il aurait été bon de séparer le pouvoir de l'avoyerie et du Diocèse afin que nous soyons irréprochables, tout en faisant nos affaires. Mais il se trouve que tu, Charlotine, est la plus à même de tenir les deux postes. Sachant qu'à part nommer, tu n'as pas grand chose à faire dans le diocèse (IG parlant).

si y'a besoin de l'avis du chancelier, dans l'article, vous pouvez annoncer que je m'engage à valider le candidat qui sera élu par les prières à Annecy, sans même regarder son nom ni la religion qu'il représente : liberté absolue de culte pour mes anciens paroissiens !
Si jamais ça n'était pas un romain, ils ne pourront s'en prendre qu'à eux-même, de n'avoir pas su donner envie aux annecéiens de choisir un des leurs ...

Moi j'aime bien quand les gens ont envie d'écrire après un article. Ils sont là pour cela. Quant à ce dernier paragraphe, c'est en effet ce que le CESE a rappelé à l'Empereur.

Vu ton intervention à la Diaspora je ne pensais pas qu'il y avait ouverture à autre article. Mais si C'est faisable alors tu auras une proposition dans la journée.

Par contre je suis toujours étonnée que tu ais laissé passer ce dernier paragraphe. Mais soit.

Charlotine, tu as du boulot sur la planche.

Je t'ai trouvé de quoi t'occuper à plein temps...

ah?

Pour ton article Izaac :

Almarita a écrit:

Le maïs reformé fait fureur !
21/06/1466 13:14 : Vous avez vendu à Haeven 1 sac de maïs pour 3,10 écus.

http://www.degloriaregni.com/KAP/index.php?id_jeu=0&id_royaume=2

Citation :

26-6-1466: Querelle de l'investiture : l'Empereur donne raison aux genevois

Genève (AAP) - 15 juin 1466 : Enfin un nouvel Évêque à Genève. Et Dieu sait que les choses ne se présentaient pas sous les meilleures augures.

Exception remarquable dans les Royaumes, le diocèse de Genève avait été retiré de l'autorité Romaine par le Ciel. Curieuse malice du même : l'Empereur y investissait l'évêque. Lorsqu'il ne dormait pas. ROdrigue était arrivé en décembre dernier, après de longues semaines de vacances pénibles pour tous. Et voilà que depuis le 29 avril, la cathèdre se retrouvait à nouveau inoccupée, avec pour conséquences, l'impossibilité de prier pour un nouveau curé au moment du renouvellement des candidatures, venant priver les fidèles de toute cérémonie religieuse, mais aussi, l'interruption de la carrière des érudits de la voie de l'église d'une cité grosse comme la Lorraine. Charlotine Durand, avoyère de Genève, s'était pourtant démenée en priant l'Empereur, Freas Von Aranjas, de nommer au plus tôt un nouvel évêque afin de ne pas en arriver là.

Aboulique, entre les pressions de Rome qui entend conserver son exclusive et son désir de Justice, Sa Majesté Impériale proposa que la gestion du Diocèse soit partagée entre Genève, terre de libertés, et Annecy, dans le très Aristotélicien Duché de Savoie, se voyant octroyer un mandat à tour de rôle. L'avoyère, Aristotélicienne réformée de confession genevoise et Sicaire du Lion de Juda, accepta l'offre pendant qu'à Rome on mégotait dans les alcôves, agitant vainement l'épouvantail de l'invasion. Un mois plus tard, le 14 juin, la Cité Helvète se retrouvait ainsi sans lecteur ni évêque. A Genève, on s'échauffait doucement de la mascarade : quelques bonnes baffes au voisin impérial pouvaient sembler une bonne issue.

Enfin, le 15 juin, au réveil, les portes du diocèse s'ouvrirent miraculeusement, l'avoyère en personne en détenait les clefs, surprise de se retrouver là, nommée par un Empereur qui avait décidé de lui donner sa confiance, alors que de son côté, elle avait initialement proposé les noms de Cyanure d'Arsenic et Père Stanislas, régulièrement au service de la paroisse et possédant toutes les qualités requises pour occuper cette charge. Depuis, un Conseil diocésain vivant a été constitué. Les deniers du pape disputés, et dont une bonne part ont disparu dans les poches du précédent évêque, permettent enfin une gestion saine et publique de l’Évêché. Aux nécessiteux et à ceux qui souhaitaient se lancer dans des études de la voie de l’église, on offre du travail à la milice. Au Conseil de la Confédération, on fournit les simples et autres denrées, précieuses à l'augmentation d'un prestige Suisse à 5*.


Pimprenelle et Nicolas, pour l'AAP agence Meuse, Saône & Rhône

👌
J'aime quand c'est résumé. Je comprends enfin l'histoire.😃

http://www.degloriaregni.com/KAP/index.php?id_depeche=90635

Citation :

19/07/1466 der schweizer krieg

Aachen (KAP) - Nach der gewaltsamen Einnahme des Freiburger Schlosses im vergangenen Sommer fand sich Fatum in der Schweizerischen Eidgenossenschaft wieder. Die letzte Gruppe, die sich gegen die Organisation französischer Diebe in der Schweizer Hauptstadt wandte, wurde am 17. Juli geschlagen.

Kanzler Leonit, vom schlechten Ruf in Österreich, wo er die Kassen des kaiserlichen Herzogtums stahl, erhob das Verbot gegen die letzten noch stehenden Angreifer. Minimoods, die ehemalige Kanzlerin, schloss sich den Freiburger Truppen an, deren Armee sie befehligt, seit Wood, ihrem letzten Kapitän, von den Angreifern schwer verwundet wurde. Luzern kündigte durch die Stimme seines selbsternannten Kaisers und badischen Räubers Artair an, sich von den Schlachten fernzuhalten. Der Konflikt stellt die Befürworter einer auf Urkunden und Privilegien basierenden Legalität gegen jene einer Legalität, die sich strikt aus dem In Game Votum der Bewohnerinnen und Bewohner von Helvetia ergibt.

Hinter dem Deckmantel dieser eitlen Reden über Recht und Gerechtigkeit versinkt die Helvetia noch mehr in den Händen von Räubern ohne Glauben und Moral. Leider respektiert sie ihren inzwischen etablierten Ruf als Voyou-Staat, der von kleinen Streikbanden geführt wird. Aus Frankreich und Deutschland gejagt, können sie nur die Schweizer Täler finden, um Mikrokönigreiche in ihre Größe zu zerlegen.


Für die KAP, Kalikot

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19/07/1466 la guerre suisse

Aix-la-Chapelle (KAP) - Après avoir pris de force le château de Fribourg l'été dernier, Fatum s'est retrouvé en force dans la Confédération suisse. Le dernier groupe à s'opposer à l'organisation des voleurs français dans la capitale suisse a été battu le 17 juillet.

Le chancelier Leonit, de mauvaise réputation en Autriche, où il a volé les coffres du duché impérial, a levé l'interdiction contre les derniers attaquants restants. Minimoods, l'ancien chancelier, a rejoint les troupes de Fribourg dont elle commande l'armée depuis que Wood, son dernier capitaine, a été grièvement blessé par les assaillants. Lucerne a annoncé par la voix de son empereur autoproclamé et voleur en Baden, Artair de rester à l'écart des batailles. Le conflit oppose les partisans de la légalité fondée sur des documents et des privilèges à ceux de la légalité strictement dérivés du vote in game des habitants de la Helvétie.

Derrière la couverture de ces vains discours sur la loi et la justice, la Helvetie s'enfonce encore plus dans les mains de voleurs sans foi et sans morale. Malheureusement, elle respecte sa réputation d'État Voyou dirigé par de petits "gangs de grève" (sic). Chassés de France et d'Allemagne, ils ne peuvent trouver que les vallées suisses et les diviser en Micro Royaumes en leur taille.


Pour le KAP, le fumier de potassium

http://www.degloriaregni.com/KAP/index.php?id_depeche=91005

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02/08/1466 un été à Fribourg

Fribourg (AAP) - Plusieurs organisations criminelles se livrent une bataille sans merci pour le contrôle d'un territoire cinq étoiles.

Fribourg connaîtra-t-elle enfin un peu de répit ? Les gangs en lutte pour le contrôle du quartier populaire de Fribourg auraient signé un accord de cessez-le-feu, il y a quelques jours. Une bonne nouvelle pour les habitants : depuis l’an dernier, pas moins de deux assauts armés ont été dénombrés dans le quartier, faisant 12 morts et 66 blessés selon les manifestants. Une réalité qui contraste avec l’image d’une capitale helvétique paisible et insouciante dans un empire suisse souvent cité comme le plus heureux du monde.

Ces dernières semaines, deux bandes rivales, l'Hydre et le Fatum, ont mené une lutte sanglante, se disputant la suprématie des lieux et le contrôle juteux des institutions helvétiques. « Vue de Suisse, ces bandes sont composées en majorité de jeunes d’origine immigrée, beaucoup sans éducation, ayant grandi dans les banlieues du domaine royal français, explique Jean Aristote Kaiser, ancien membre de l'ordre du Dragon. Dès leur jeune âge, ils ont vu que ceux qui ont de l’argent, de belles montures et qui inspirent le respect font partie des bandes. Ils voient ces chefs de gangs comme des modèles à suivre. »

Le conflit a atteint un nouveau pic le 16 juillet lorsque l'armée DTC commandée par Galovert canonne le ghetto des Français, le repaire du Fatum, en haut de la ville. Cette attaque attribuée à l'Hydre, qui a fait un demi mort et deux blessés selon les autorités, est suivie un jour plus tard par des représailles mortelles des Fribourgeois contre les membres de la bande adverse. À l’origine de l’escalade, « une ingérence intolérable de Fatum dans le circuit d’approvisionnement d'étoiles pour bannières armées », explique l'aristarque français effaré par la complicité du conseil confédéral qui nourrit le système.

Moment de répit dans cette guerre : le 25 juillet, les deux bandes ont donc décidé un cessez-le-feu, affiché en gargote helvétique. Mais tout le monde reste sur le qui-vive et sceptique sur la capacité des cantons à éradiquer durablement le fléau. Pour Orée, organisatrice des manifestations de quartier sous le slogan « Nous voulons une vie normale dans nos rues», la trêve ne fait que « retarder l’allumage de la bombe qui nous menace ».


iZaac et cie pour l'AAP, agence Meuse, Saône et Rhône

[RP] Traité d'adhésion pour groupes en Helvétie http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=2378312

http://www.degloriaregni.com/KAP/index.php?id_depeche=92827

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16/10/1466 un automne en Suisse

Marseille (AAP) - Parvenue en l'année 1466 de la féconde incarnation du petit Christos en pagne, la noble et fumeuse Helvétie fût en proie elle aussi, à l'épidémie mortelle. Que la peste fût l’œuvre des influences astrales ou le résultat de nos iniquités et que Dieu, dans sa juste colère, l’eût précipitée sur les hommes en punition de nos crimes, toujours est-il qu’elle s’était déclarée, quelques années avant, dans tous les pays alentours d’Orient et d'Occident, où elle avait entraîné la perte d’une quantité innombrable de vies humaines. Puis, sans arrêt, gagnant de proche en proche, elle s’était, pour nos malheurs propagée jusqu'à Fribourg. Pour la première fois de son Histoire héroïque, la Suisse passait sous les 500 âmes.

Toute mesure de prophylaxie s’avéra sans effet. On eut beau tenter de nettoyer la ville de ses ordures. On eu beau interdire l'entrée du château aux gens de Lucerne et multiplier les prescriptions d'hygiène et de gentillesses, Rien n'y fit. L'horrible fléau commença à manifester ses ravages douloureux. L'on passa la fin de l'été de XII à Quatre au Conseil, requérant vainement un bourreau qui faisait défaut. Le landamann de Solothurn faisait souverainement chancelier, maire, procureur et juge pendant que Lucerne au ban mendiait l'application de ses verdicts. Cet automne, pas moins que quatre conseillers du Palais fraîchement élus manquaient encore au Château et là même, on peinait à fourbir la fameuse triplette de l'Argenterie suisse. Pis, Genève s'était donnée un curé romain.

Mais ce ne fut point comme en Orient où le saignement de nez était le signe évident d'une mort inéluctable. Chez les Suisses, au début de l'épidémie, et qu'il s'agît des hommes ou des femmes, certaine enflure se produisait à l'aine, sous les aisselles, où en gargote on les appelait vulgairement bubons. Après quoi, le symptôme du mal se transforma en tache noire ou livide, vidant les halles et les laissant sans couleur aux flood et aux rumeurs.

Quant au traitement de la maladie, il n'était point de remède qui pût amener la guérison. La nature même de l'affection s'y opposait-elle ? Fallait-il incriminer les médecins ? Et sans parler de tous les praticiens à diplômes. Partout ailleurs on avait vu grandir dans d'incroyables proportions de nombre tous ceux, hommes ou femmes, qui exerçaient la médecine des nombres pour soigner le vide des âmes. A Fribourg, le bailli comptait et on affichait lors, la même ordonnance médicale mortifère, incapable de déceler l'origine du mal et par conséquent, de trouver le remède approprié.

L’intensité de l’épidémie s’accrût du fait que ces médecins, par leur commerce journalier avec les malades, contaminaient les individus encore sains. Ainsi en est-il du feu, alimenté par les matières sèches ou grasses qui lui sont contiguës. Ce qui propagea encore le désastre, c'est non seulement que la société et la conversation des malades le communiquaient aux personnes bien portantes, c'est que le contact des vêtements et de tout ce que les pestiférés avaient touché ou manié pour leurs compte et inventaire paraissait transmettre le mal au nouvel usager.

Ecoutez le prodige qu'il me faut vous dire. Et si je ne l'avais, comme beaucoup vu de mes propres yeux, j'oserais difficilement y croire et à plus forte raison l'écrire, l'eussé-je entendu de personnes digne de Foi. Le fléau dont je parle se transmettait de l'un à l'autre avec tant de force et de naturel que non seulement l’infection jouait d'homme à homme, mais qu'il se produisit un phénomène encore plus surprenant. Un objet qui appartenait à un malade était-il touché par un être sans rapport avec l'espèce humaine ? Non seulement cette créature était frappée, mais elle mourait à bref délai.

Voici ce que mes yeux ont un jour observé : on avait jeté sur le marché une sorte de renne nain de Noël. Buttant contre lui, deux cochons - c'est la coutume de ces bêtes - l' 'emportent en s'y frottant leurs groins, couinant de petits gémissements obscènes. Presque aussitôt, comme empoisonnés, les voila tous les deux à donner des signes de vertige et tombant morts à terre.


Boccace pour l'AAP agence Meuse, Saône et Rhône

[RP] Billot du bourreau - Büro des Henkers
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=92436478#92436478

Citation :

Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé Pestouille..

Et meeerde !

http://www.degloriaregni.com/KAP/index.php?id_depeche=93789

Citation :

25/11/1466 l'Helvétie à vau-l'eau

Sion (AAP) - Sa démographie en Berne, après être passée sous la barre des 500 hommes et femmes pour la première fois de son histoire, elle a encore perdu une vingtaine d'habitants en moins de deux mois ; des mines vides, celle de Grandson menace de fermer définitivement, faute d'hommes dans un canton déserté, amputé par l'incurie des skarrides à le redresser après la saignée de 1464 ; un palais vide qui périclite entre les mains de nombrils assurés eux-mêmes de leur clairvoyance exemplaire ; une gargote désolée ; le canton de Lucerne mis au ban du Conseil des XII qui ne sont plus qu'un Quarteron, les avoyer et landamann élus ignorés ou silencieux ; des armées privées agréées à discrétion par des particuliers ; les tribunaux cantonaux abandonnés où le maire est procureur et juge, la Suisse n'en finit plus de dériver. Chacun y vit désormais retiré dans sa vallée, respirant en silence.

Dernière péripétie en date, le pillage du Valais par une secte obscure adoratrice du Sans Nom. Lanshor, également procureur du Canton de Genève, s'est emparé de près de 9000 écus, sans rencontrer de résistance notable. La somme est belle : pas un pet de Berne en halles pourtant. Tout juste lit-on sur les greffes du tribunal du "duché", une sobre mise en procès du protagoniste au nom d'un tribunal cantonal qui n'existe plus depuis des mois. On se hait et se tait en Helvétie. Faute d'avoir réglé de conserve des âneries de deux ans et préféré des petits agréments entre bandes et têtes folles, les cantons ne sont moins que l'ombre d'eux-mêmes. « C'est pas nous, c'est eux ! » soupire le Conseil palatial, gouverné avec inappétence par Notwen, Minimoods et Lordhammer, fossoyeurs de l'Helvétie, spectateurs du piteux confortablement installés dans la posture de la victime. Sic transit gloria helvetiorum.


iZaac pour l'AAP, agence Meuse, Saône et Rhône

[RP] Sion martyrisée
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=2387974

Aelig a écrit:

Citation :

Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé Pestouille..

Et meeerde !

Domenja a pris le pouvoir à Genève cette nuit pour virer Beauregard qui faisait parti de l’équipe ayant pillé Sion.
Intérim de 6 jours, elle ne se présente pas aux élections de Genève.

http://www.degloriaregni.com/KAP/index.php?id_depeche=98026 (presse locale)

Citation :

29/05/1467 en Suisse, béni soit qui mal y pense

Fribourg (AAP) - L'observateur attentif des affaires helvétiques ne doute plus désormais du dépérissement de ce territoire autrefois contremaître des histoires dans l'Aristotélité.

Son tournoi, jadis plus grand événement pacifique des royaumes, est délocalisé en Flandres, faute d'organisateurs en Suisse. Ses péripéties militaires qui en faisait la terre la plus redoutée des marges de l'Empire font désormais sourire jusque même la connétablie impériale qui n'a guère brillé pourtant par son activité militaire depuis Hadrien Ier, jusqu'à déléguer la bagarre contre les Genevois au voisin français.  La Réforme, son sel spirituel, s'est dissout en fade saumure lorsque les théologiens ont laissé la place en enquiquineurs de curés tout juste bon à réclamer l'investiture indigène. Ses cantons enfin, se sont détournés les uns des autres et semblent avoir délégué leur très chère souveraineté à un Conseil des XII qui n'en demande pas tant et s'en dédouane.

Aujourd'hui, la Suisse est administrée par un Conseil des II, Lordhammer et Notwen, économes de bureau qui se désolent de ne plus trouver autour d'eux d'âmes charitables pour éplucher les légumes.

Énième sollicitation ? La gargote helvétique fleurit une nouvelle fois d'un appel aux points d'Etat. Même 10, à votre bon cœur messieurs dames ! Le Chancelier helvétique aura réussi à forger une Suisse à l'image de son propre canton, Solothurn : une vallée administrée sans relief par un maire inamovible faute de relève, spécimen exemplaire de l'Etat modèle. Le prestige peine à être maintenu à 3,5*. La place de juge est vacante depuis plusieurs semaines, sans même un mot pour s'en désoler ou un avoyer pour s'en indigner.

Et les autres dans tout cela ? Les maires helvétiques sont bien plus blâmables encore dans ce triste Crépuscule. A claironner leur souveraineté pour finalement ne rien en faire, ils ont tari la vie locale.

On ne trouve plus guère à Grandson que 20 habitants et une halle désertée. Une malédiction ? L'héritage des Skarrides, petit clan de brigands qui sera parvenu à vider le canton. Les 90 âmes vives de 1465 auront fondu sous les mandats de Skarry et Yoska. Lucerne suit le même chemin, dans la main des « oiseaux », un clan de brigands allemands exclu des affaires du Conseil des XII. Schwyz se complaît dans son splendide isolement, vertueux et silencieux, sauf lorsqu'il faut dire « nein ». Sion n'est plus que l'ombre d'elle-même, administrée sans passion par un Yukimura que l'on n'entend plus. Comme glissant de l'Acropole au caniveau, Genève-la-Gargote a laissé la place à Genève-le-Marché. On s'y ébaubit en grattant 50 deniers sur la miche et en y jonglant avec les inventaires. Rentrée sans tambour ni tempête dans le giron de l'Eglise de Rome, on y applique les mêmes recettes qu'à la Curie et en Empire : ne rien dire, ne rien écrire, ne rien faire et les moutons seront bien gardés. Fribourg enfin, longtemps agitée par une coterie de brigands obnubilés par leur haine de la Reine de France, convulse encore un peu entre deux invectives fleuries des miraculés de cette affaires.

La Suisse semble s'en satisfaire de suivre le chemin de l'Empire dont les derniers Souverains auront réussi à saigner jusqu'à l'envie d'y régner. Konsar le dauphin succédera dans quelques jours à Thibaud-béni-oui-oui, sans même un challenger.


Jean-Kaiser Aristote pour l'AAP

Recherche de fonctionnaires - Beamten gesucht !
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=2392133

T as un nouveau pseudo ?

Il n'y a plus rien à faire sur les royaumes. Leurs mises à jour pourries arrivent trop tard, ça me fait mal au cœur pour eux (pas beaucoup je l'avoue), ils bossent pour finaliser un truc l'années prochaine, et il n'y aura plus que 6 joueurs...

J'entends la voix de Fernand qui me dit "sooooors de là.... sooooors de làààààà..."

écrit à quatre mains, comme les singes.

http://www.degloriaregni.com/KAP/index.php?id_depeche=99063

Citation :

16/07/1467 Luzern: Ihr Ausweis bitte !

Luzern (KAP) - Anklagewelle in Luzern. Der Kanton Luzern klagt derzeit gegen mehrere Reisende aus den deutschen Landen. Es handelt sich hierbei um Reisende aus den Grafschaften Württemberg und Nürnberg. Den Reisenden wir der Hochverrat zur Last gelegt.

Hintergrund der Anklage ist eine im Jar 1466 verhängte und immer noch geltende Grenzschließung des Kantons Luzern, von Artair Mitlesbach, ehemaliger Landamann von Luzern und Anführer der Vögel, einer leider den Maréchaussées bekannten Diebesbande. Diese Grenzschließung gilt im Besonderen für Bürger des Deutschen Reiches. Demnach benötigen Reisende aus den deutschen Ländern eine Einreisegenehmigung bevor sie Luzerner Boden betreten, angefordert werden soll.. Diese Genehmigung ist postalisch beim Luzerner Landamann zu beantragen (zur Zeit der Veröffentlichung des Artikels ist dies Challeyha de Braganza).

Solche Einreisegenhmigungen sind in den Kantonen der Eidgenossenschaft nicht unüblich. Die schweizerischen Kantonen sind ein Staatenbund, bestehend aus souveränen Staaten. Dieser Staatenbund wird zwar von einem gemeinsamen Regenten geführt, allerdings entscheidet der Regent der Eidgenossenschaft, Lordhammer, nicht über landesweite Genehmigungen.
Daher unterscheiden sich die Einreisebestimmungen in Form der Beantragung und Genehmigung von Kanton zu Kanton! Auch ist die Umsetzung des Gesetzes je nach Kanton unterschiedlich. Bürgern des Deutschen Reiches und teilweise auch aller anderen Reiche wird demnach empfohlen sich über die jeweiligen Einreisebestimmungen zu informieren.

Echned der Steinmetz für die KAP, Maas, Saône & Rhône Agentur