[RP] le livre de Nicbur

Chapitre I : les exploits.

Cette acte testamentaire fut rédigé le 26 mars 1457 en présence de _Max de Mazière, de Monseigneur Anteu von Krumme et de Imladris Van Ansel Vice-Chancelier alors que Wils se trouvait sur son lit de mort. Wils décéda quelques heures plus tard des suites des blessures qu'il a reçu tôt le matin de la même journée. Dans la mêlée, malgré les rudes combats de cette journée, Wils pu formellement identifier son assaillant, Nicbur, Capitaine de la Garde Genévoise.

Citation :

Acte testamentaire de Wils0123,

Moi, Wils0123, Chancelier de Franche-Comté, par un moment de lucidité avant que la mort ne m'emporte, lègue l'équivalent de 500 écus aux bonnes œuvres de Pontarlier. Se qui restera de m'a fortune personnelle sera légué à ma lointaine cousine Perl de Bertincourt, en Artois. Perl a toute lassitude a designer un autre bénéficiaire ou de faire un autre usage de mes biens.

Au cours de ma vie, j'ai eu la chance de côtoyer des personnes de qualités, dont je teins a remercier... Tout les nommés seraient une tâche trop ardu dans mon état, ils seront se reconnaitre! Je quitte en croyant mon travail de Chancelier inachevé...

Née à Pontarlier! Combattu pour Pontarlier! Mort pour Pontarlier!
Comtois rends-toi! Nenni ma foi!

Fait a Pontarlier le 26 mars 1457

Wils0123,
Chancelier de Franche-Comté


Témoins :

Le Franc-Comte,



Monseigneur Anteu von Krumme,
Archevêque de la Province ecclésiastique de Besançon


Imladris Van Ansel,
Vice-Chancelier et Juge ad interim

Qu'est-ce qu'on met, avec ?
Du Wagner, tout de suite, ou on attend un peu (avant d'envahir la Pologne) et on se contente de Beethoven ?

ou plus rock, peut-être, pour The Nic ?

depuis son retour de Pontarlier, nicbur n'avait pas pris le temps d'aller prier en l'église Saint Pierre. C'était maintenant chose réparée. Heureux d'être de retour chez lui, après avoir vainement tenté d'instaurer une république réformée en franche Comté. Cette petite balade chez ses voisins avaient confirmé ses impressions...

Il s'agenouilla dans l'Eglise, et pria.

Aristote, merci à toi de m'avoir permis de revoir les miens. Merci de m'avoir choisi, moi, nicbur, pour être ton bras armé. Les évènements de Pontarlier m'ont convaincu que tu m'avais choisi: pas une seule blessure lors des combats meurtriers, et la téte du franc comte en cadeau. Je t'en remercie. Je sais maintenant que je suis l'élu, et je jure de te servir ma vie durant.

Pendant la bataille, les coups que tentaient de lui asséner ses ennemis semblaient arriver au ralenti, ce qui lui laissait le temps de les esquiver. tout lui semblait facile...

Il se releva et sorti de l'église. Cette nuit, dans ses rèves, une voix lui avait dit de suivre le lapin rose qui le libèrerait... Ce lapin doit le mener à un certain Maureféus, qui lui ferait découvrir l'étendue de son talent, et des capacités qu'il n'osait encore imaginer...

-Un lapin rose- se dit nicbur, ou allait il pouvoir trouver ça...

Heu, à mon avis, va falloir remasteriser Blue Oyster Cult comme Bo...

Ca y est, le précieux sésame était obtenu! après de longues journées de marche à travers tout le royaume de France, il faisait une halte à Auch.
Ca faillit être une courte pose, mais le pigeon reçu de Phonya l'avait rassuré... Enfin, presque.

Ils pouvaient rester à Auch, le laisser passer leur avait été délivré, mais ils ne pouvaient plus sortir armé! Et la c'est le drame... Nicbur avait d'abord cru à une mauvaise blague de Phonya, mais non, c'était bel et bien vrai... Les épées devaient être rangées...

Le nicburissime sans arme, c'était un évènement suffisament rare pour qu'on en parle pendant des années. Depuis de longs mois, voir même de longues années, il n'avait jamais quitté son armement. La fermeture de son ceinturon tenant son épée en était même grippé, et il avait du demander de l'aide à Phonya pour lui oter une part importante de sa virilité.

Heureusement pour lui, il avait pu garder son casque...

Ce triste évènement digéré, nicbur faisait le tour des tavernes locales. Celles ci étaient calmes, seule l'avoyère locale y était régulièrement. Apoulit qu'elle s'appelait l'avoyère. Une brave fille apparemment, qui ramait pour faire prospérer sa cité.

ce soir, en taverne, il discutait économie avec elle:

Alors comme ca, les temps sont durs? et votre Cac vous interdit d'exporter et de commercer avec les duchés voisins?

L'avoyère, ou plutot la mairesse comme ils disent ici, hocha la tête:

Vous voyez, c'est la le problème avec les nobles. Ces gens sont de la même race que les curés. Ils disent agir pour le bien des autres, mais leur seul objectif est de s'enrichir et d'obtenir encore plus de pouvoir.

Je vous le dis Madame, affranchissez vous de ces escrocs, et votre peuple deviendra fort et riche.

Restez à leur botte, et vous croupirez dans la misère.

Ses paroles étaient dures, manquaient surement de tact, mais nicbur disait la vérité. Déos guidait son bras, mais également son esprit, et il ne désespérait pas réussir à convertir quelques sudistes à sa cause

habsbourg a écrit:

Citation :

Mes salutations,
Une croisée se dirige droit sur Genève, pour plus de précision contactez vostre maire, je lui ai envoyé un plus gros descripifs, je veux juste savoir si vous avez les armes pour armé vos défenseurs?
Un corps franc de Français, Italiens et Germains vient actuellement pour vous aidez...

Réponse du sublissime:

Citation :

Messire,

Tout d'abord, je vous remercie de vous préoccuper du sort de Genève, Aristote saura vous remercier le moment voulu.

Remerciez également vos amis qui viennent porter assistance à la cité lémanique, nous ne les oublierons pas.

Je pense cependant que Genève et ses alliés pourront se protéger si croisade il y a. Je ne puis par conséquent que vous inciter à venir aider les enfants de Genève dans le Béarn.

Vous connaissez probablement le début de cette guerre, et les dessous de cette croisade, si ce n'est pas le cas, je me ferai un plaisir de vous conter cette histoire.

A bientot dans le Béarn, j'espère

Nicbur, Lieutenant général de la Garde genevoise en mission dans le Béarn

Nouveau pigeon

Citation :

Messire,
Si j'ai bien lu votre lettre, vous êtes en Béarn...
Pourrais-je avoir quelques informations concernant cela?
Tant qu'à vous rejoindre là-bas, nous ne pourrons pas, nous sommes déjà engager et la progression des croisées est entachée par nos actions...
Pour finir, j'aimerais avoir votre version sur le début de cette guerre, et les dessous de cette croisade.

Cordialement,
Habsbourg.

Nouvelle réponse

Citation :

Sieur,

En effet, je suis dans le Béarn, et je vais vous expliquer les raisons de cela:

Il y a de cela quelques années, une croisade a eu lieu contre Genève, croisade s'étant soldée par une victoire genevoise, mais surtout par le meurtre de l'avoyer genevois, ptitced, assassiné par l'ancien curé genevois Yohann, alors qu'il sortait négocier, le drapeau blanc en main.

Voici quelques mois, nous avons appris que Yohann se cachait dans le béarn. Nous avons donc contacter les autorités béarnaises, afin d'obtenir l'extradition du traitre.

La seule réponse du Béarn a été le silence. Prenant leur silence pour un affront, nous leur avons lancé un ultimatum. Si à la fin du délai imparti, ils ne s'étaient toujours pas manifestés, alors Genève déclarerait la guerre au Béarn.

Et c'est ce qui arriva... Nous sommes donc partis guerroyer dans le sud ouest, où nous tentons d'obtenir une réponse favorable à nos demandes.

Si vous souhaitez obtenir d'autres informations, ainsi que les différents pigeons transmis aux béarnais, je vous les transmettrai avec plaisir

Cordialement,,

Nicbur

Un pigeon vint se poser, exténué après la longue route qu'il venait de faire

Citation :

Mes amis,

J'ai eu connaissance de votre projet de texte visant à interdire l'organisation dénommée "le Lion de Juda" sur le sol genevois. Avant de nous prononcer sur ce ce texte, je pense qu'il faut rechercher les avantages et les inconvénients de ce texte.

Comme vous le savez sans doute, j'ai jadis été un farouche opposant de cette organisation, qui était alors ennemie de la patrie

Puis sont arrivés les premiers croisés qui, prétextant venir combattre "le Lion", ont tenté de mettre à sac notre belle cité. J'ai alors du combattre avec mes ennemis d'autrefois, et, du haut des remparts, j'ai appris à les connaître, à apprécier certains sicaires même... Leur rage au combat, m'a je l'avoue, impressionnée, moi, le nicburissime. Je me souviens d'un des leur, le dénommé "Le Pio", qui, en un assaut, avait réussi à tuer ou blesser trois croisés. Ce qui m'a le plus frappé chez eux, c'est leur amour de Genève. Oui, j'ai bien dit Amour. Les cités considèrent Genève comme le phare du monde connu, comme la merveille des merveilles, terre de libertés, la cité d'Aristote...

Suite à cette croisade, le Lion a été toléré à Genève, certains de ses membres en devenant même conseiller ou avoyer.

Le lion s'est toujours battu pour Genève, et je pense que si on lui tourne pas le dos, il n'abandonnera pas notre belle cité.

Je m'en vais maintenant vous exposer les avantages et les inconvénients de cette interdiction. Bien sur cette liste n'est pas exaustive, et vous pourrez sans doute la compléter.

Parmi les points positifs, le principal est, je pense, l'obtention de la tranquilité. Les Sainctes armées prétextant venir à Genève pour lutter contre le Lion. C'est un argument de poid, je l'avoue, même si je pense que dès qu'elles en auront l'occasion (et un casus belli), elles tenteront de prendre la ville... Genève a une position stratégique, pour passer de la FC à la Savoie, permettant de rejoindre l'italie rapidement.

C'est à mon avis, le seul bénéfice que pourrait retirer Genève d'un tel texte...

Les désavantages sont, à mon sens, beaucoup plus nombreux:
Le Lion est un allié fidèle, comme je l'ai dit précédemment. Il n'a pas hésité à traverser le royaume de France pour aider les troupes helvètes, et cela sans rien demander en retour.

C'est en outre une organisation redoutée de partout dans le monde. Nous sommes actuellement une petite dizaine de citoyens genevois sur les terres béarnaises, plus le lion. Et 5 armées sont en route ou sur place pour tenter de nous vaincre. Sans les sicaires, notre opération dans le béarn n'aurait pas été victorieuse, et nous serions revenus la queue entre les jambes, si je puis permettre l'expression. Ma réputation et mes légendaires qualités de combattant n'auraient pas suffit pour nous assurer la victoire.

Lui tourner le dos, c'est en outre prendre le risque de vexer les sicaires, qui voudraient reconquérir Genève. Je sais que la politique de la cité n'est pas de céder devant l'adversité (quoique les évènements de ces dernières semaines me laissent quelque peu dubitatifs...) mais si on pouvait éviter une nouvelle guerre contre le lion, ca serait déjà ca de gagné. (on a quand même une sacrée paix depuis qu'ils ne sont plus persona non grata chez nous, non?)

Ils sont en outre de grands partisans de la liberté: ils n'ont pas hésité à aller préter main forte en franche comté quand le maire de Pontarlier a déclaré la République sur ces terres.

Enfin, et c'est sans doute la meilleure raison, avec eux, on sait à quoi s'en tenir... ils ne jouent pas de double jeu, contrairement à certaines armées qui lèvent le camp, mais juste après, mettent la tête de notre avoyère (ainsi que celle d'Izaac et Sanctus) à prix...

Alors, il est vrai que le lion, et notamment Sanctus, son chef spirituel, est parfois, comment dire... maladroit, notamment lorsqu'il déclare créer une République au nom de Genève, mais cela vient s'en doute de son côté gamin turbulent, qu'il faut rappeler à l'ordre parfois...

Pour conclure, je pense qu'interdire le Lion serait une grave erreur. Plutot que de l'interdire, il serait préférable de se désolidariser de leurs actions quand ils vont trop loin, en condamnant certains de leurs actes (dans le dernier cas, le fait d'avoir parlé au nom de la cité phare).

Ca serait, à mon sens, la meilleure solution, est celle qui correspond le mieux à l'esprit de concorde cher à Notre Notwen nationale.

Espérant que ces quelques mots vous auront convaincu, je vous dis à très bientot

Votre ami, Nicbur

pas mal !

on dit pas mal"issime"

Shame on me !

Allez, je recommence :

Pas malesquissime !

Une nouvelle facette de l'Issime: Nicbur l'apprenti romantique (n'est pas Mél qui veut)

Citation :

Ma chère amie,

Je t'écris ces quelques lignes pour te remercier de la soirée que nous avons passé. Ta compagnie est des plus exquises, et tes lèvres des plus agréables à baiser.

Je suis désolé de ne pas être un beau parleur comme peuvent l'être certains hommes. Je dis les choses telles que je les ressents, et couche les mots comme ils me viennent, mais tout ce que j'écris est sincère, véritable.

j'espère te revoir très bientot et te souhaite bon courage pour ton futur mandat de maire.

Si tu veux de l'aide, n'hésites pas à me contacter, et si tu n'en as pas besoin, n'hésites pas non plus, te lire me plairait énormément.

A bientot

Nic

Ouahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

Nicbur a dit

Citation :

Nicbur fut mené à ses appartements.

Charmante batisse que la chancellerie savoyarde, quoique un peu trop clinquante à son goût. Trop de tapisserie tue la tapisserie, comme lui disaient ses parents.

Puis, l'absence d'odeur de poisson, ça lui manquait...

Il attendait...

roi lézard a dit:

Citation :

Montjoie avait conduit l'émissaire helvète vers ses appartements, ce qui avait baladés les deux diplomates parmis les riches tapisseries ducales qui avaient parfois la réputation d'indisposer le pélerin peu habitué. Après celui des couloirs tapissés, était inexorablement venu le temps de la porte de chêne lacquée avec ses motifs, et derrière cette porte, débuta l'ère de la salle désormais attitrée au citoyen de Genêve, le dit Nicbur, pièce ornée de tableaux représentants des portaits de nombre de célébrités du cru. Le long des murs ne manquait aucun des comtes ou Ducs Amédée de Savoie, il y avait le Comte Rouge, le Comte Vert, même celui aux Mains Blanches, un épileptique comme César n'aurait jamais fini sa traversé des Alpes en s'arrêtant icelieu.

Le savoyard invita son homologue à prendre place sur un des fauteuils tandis qu'il s'offrait le second. Il attendit que l'homme soit bien installé et que l'échanson ait fait sa part du bouleau, en plaçant ce qu'il fallait d'hydromel sur la tablée.

" Vous souhaitiez parler entre gens civilisés, j'espère ne point décevoir vos espérances au cours de notre dialogue. Comme vous évoquiez un certain différent, j'imagine que vous souhaitez régler cette question en priorité. Il se trouve que je viens de réintégrer la chancellerie et à mon grand dam je n'ai pas encore tous les éléments en ma possession pour parfaitement juger de l'affaire qui nous intéresse, néanmoins sachez que je puis vous assurer de ma pleine volonté de coopération afin d'éclaircir ce différent entre nos deux provinces. Si vous voulez bien , je serai ravi d'entendre votre version des faits. "

Nicbur a dit:

Citation :

Bien qu'aillant la critique facile, il ne pouvait rien dire. Il était parfaitement accueilli. Sa paranoia légendaire aurait même pu lui faire craindre qu'un mauvais coup était en préparation, mais il chassa cette pensée, bu une gorgée de la boisson qu'on lui servit, et prit la parole:

Excellent messire! qu'est ce donc? je ne connais pas cette boisson?

Se rappelant les raisons de sa visite, il continua

je me permets de vous rappeler rapidement les raisons de ma visite: Voici quelques temps, je suis venu en Savoie pour y vendre du poisson, et une de vos armée m'a sauvagement attaqué. Je ne puis accepter ce traitement, d'autant plus que je n'ai jamais commis la moindre infraction sur votre sol.

J'aimerais par conséquent que les autorités savoyardes ne donnent plus ordre à leurs armées d'attaquer les helvètes sans aucun motif.

Il se tut, et vida son verre

roi lézard a dit:

Citation :

Enfoncé confortablement dans son fauteuil, le chancelier sourit aux réactions de son hôte qui faisait connaissance avec l'hydromel.

" Je suis étonné que vous n'ayez eu l'occasion de goûter à cette boisson millénaire, excellence. L'hydromel que l'échanson vous a servi, est un alcool obtenu à base d'eau que l'on fait fermenter dans une ruche de miel, j'y fais ajouter quelques plantes d'inspiration personnelle qui ont le don de détendre l'atmosphère. Aristote lui même nous en laissa une recette en ce temps où les grecs croyaient que cette boisson était celle des dieux de l'Olympe. "


C'est alors que le sire Nicbur poursuivit en approfondissant les raisons de sa visite, et le chancelier prit bonne note de ses remarques, légèrement surpris par certains éléments.

" Vous dites que vous avez été agressé sans aucune raison par nos armées ? Les frontières étaient t'elles ouvertes lors de votre voyage et les autorités avaient t'elles eu vent de vos projets en matière de poissonnerie ? Excusez toutes ces questions mais je dois connaitre tous les éléments qui ont accompagné votre infortune. Il ne devrait pas être des habitudes de nos généraux de traquer les commerçants, et ce même si le poisson peut incommoder certains odorats sensibles... Soyez assuré que nul ordre de la haute hierarchie militaire ne vise les ressortissants helvêtes comme une cible désignée sans autre forme de procès. "

Nicbur a dit:

Citation :

Bien sur messire que les frontières étaient ouvertes!!! Et même si elles avaient été fermées, j'avais une commande de la mairesse de Chambéry. Il me semble que ca vaut tous les laisser passer du monde, non?

Un regard rapide vers l'hydromel...

Ce que je crois messire, c'est que ca gène pas mal de gens de chez vous que des genevois, réformés, viennent commercer chez eux. Vous savez, on commence à avoir l'habitude... Dès qu'on avoue notre confession, les capitaines battent le rappel. Comme si nous ne faisions que nous battre... Nous voulons vivre en bonne intelligence avec nos voisins, c'est tout

Un regard appuyé vers l'hydromel...

Aussi, voici ce que je vous propose: vous rayer purement et simplement tous les noms de citoyens helvètes des listes de vos armées, et l'incident est clos.

un regard implorant vers l'hydromel...

On prépare le traité?

roi lézard a dit:

Citation :

Le chancelier soupira quelque peu en entendant cette vieille rengaine contre laquelle il avait déjà tenté de lutter par le passé, se faisant à l'occasion chantre du Mouvement Humaniste. Songeur un instant, il en profita pour sortir sa vieille pipe.

" Quelques volutes de fumée ne vous indispose pas j'espère... Ce refrain que vous entonnez ne m'est pas inconnu sire, certains confondent les genevois avec des brigands hérétiques, comme certains confondent les savoyards avec des inquisiteurs. Il me semble qu'il nous faille dépasser ces dangereuses idées reçues, car ce ne sont pas des vérités généralisables. En ce qui concerne les listes que vous évoquez, nous ne travaillons pas avec ce type de support en notre chancellerie. Je vais demander des explications aux responsables militaires afin de comprendre ce qui a pu se passer. "

Servant son hôte en hydromel, ayant ressenti la soif qui semblait le tarauder,

" En ce qui concerne la rédaction d'un traité, notre chancellerie y est disposée, avez vous une proposition en tête ? Des points qui vous semblent centraux à discuter ? "