[RP] Le journal d'Aëlig, dit "Le Musardier".

Citation :

Trois guerres en Hélvétie, jamais je ne suis tombé !

C est parce que t es arrivé apres ou que t etais dans l armee du Panzer Rose ?

Si tu peux me ramener une gravure de la croupe...

Je n'ai que celle du cheval, en gros plan.

Coup de théatre !  j'ai réintégré la Memento. Elle nous a quand même attendu un jour de plus.

Je vous transmets un placard  de l'assemblée episcopale de France trouvé sur une porte.

Finalement,  si Déos a mis la Memento au travers de ma route, c'est parcequ' il avait encore un job pour moi.

Acar a écrit:

Citation :

 Memento s'en va, Memento s'en vient ! S'il est un nom honni et indésirable, c'est bien celuy de la Memento Mori, armée autrefoys signe d'honneur et d'espoir, désormais symbole d'attaques contre les bonnes villes aristotéliciennes, de rapines et de vols en tous genres. Si nous ne pouvons empêcher cela, nous sommes profondément chagrinés de voir le chemin qu'à pris son meneur, le non moins connu Namaycush Salmo Salar, qui ne cesse de s'enfoncer sur le chemin du pêché et de l'hérésie. Et s'il est une chose que nous pouvons faire sans hésiter, c'est apporter nostre soutien à toutes les cités qui, en Armagnac & Comminges, en Guyenne, en Béarn, ont pris les armes et se tiennent prêt à se battre, ou se sont déjà battues, pour la défense de leurs murs et de leurs habitants. Les prières des membres de l'Assemblée Episcopale de France accompagnent tous les braves de ces villes menacées, qu'ils soient membres des Saintes Armées, ou des maréchaussées et armées temporelles locales. Puyssent la morale de Saint-Barnabé et l'esprit de justice de Saint-Arnvald, tous nous guider. Rédigé, signé & scellé ce troisième jour de juin de l'an de grasce MCDLXVI, sous le Pontificat d'Innocent VIII.  

Pau, 9 juin de l'an grâce 1466.

Un lecteur perspicace remarquera que notre Aëlig partit de cette ville, où il hiberna tout l'hiver, il y a 18 jours exactement  

Aujourd'hui, avons pris position non loin de l'armée comtale, présente aux portes de la capitale, sans une seule escarmouche. Ce qui est assez curieux quand on y pense. Sûrement le palois faisait-il la sieste. Il faut dire que le soleil de l'après-midi est plutôt écrasant. La bataille sera donc rangée, demain, au lever du soleil.

De la butte où nous sommes, avons une vue cavalière sur toute la ville : Nous pouvons observer les toits très pentus, la Comtesse-evêque Cooky, avec sa suite alignée en rang d'oignon, prendre un bain de soleil ainsi que Cameliane dans la voiture balai pilotée par le capitaine franco-bourguignon Mackimus, notoirement connu à Genève pour son amour tranchant de la Réforme. J'avais déjà remarqué ces dernièrs jours qu'elle galopait à côté de l'armée mais j'ai pas cherché à avoir plus explications. Puis à moi, on ne dit rien, à part le jour de notre arrivée avec Camy à Saint Liziers, où j'ai reçu un kikou d'une cheffe pour me prévenir de ne pas prendre l'embauche à 4  FC reservée à Cameliane. Ben pour une fois, j'ai bien fait d'obéir, sinon c'est moi qui serait en train de galoper à côté de l'armée ! On est quand même plus confortable, assis dans le fourgon de la cantinière.

Dans le village, la mairesse est sortie de sa sieste à 13h00. Depuis, c'est l'effervescence, l'effet de surprise quoi, ce qui expliquerait peut être que l'armée comtale n'ait pas combattu. On ne devait pas s'attendre à voir l'ogre Namay sortir des bois dans ce coin là. Ce qui expliquerait aussi pourquoi l'autre nous a fait ramper en rase campagne depuis Saint Liziers.

Citation :

De
Monsieur le Maire
Date d'envoi
Le 09 Juin 1466 à 13h20
Objet
Aux ARMES !
Expire le 01 Juillet 2018
Aux Béarnais, Amis et Autres.

Il y aura combat cette nuit et si nous tenons, les jours prochains.

Aujourd'hui nous devons prendre les armes.

Prenez les offres de miliciens et maréchaux pour les plus pauvres. Formez les lances. Suivez les meneurs, défendez le pouvoir. Vous pouvez rejoindre ma lance (Susi c’est moi) et le groupe de Brune, et suivre. (« hors de la ville », « Groupes et armées » => adhérer, puis onglet « Mon groupe » =>  suivre le meneur. Les jours d’après suivre le meneur).

Oui, pour ceux du côté des gentils !

Remarquez pour ceux qui sont du côté des attaquants, c'est un peu la même chose, donc bon. Sauf qu’il attaque le pouvoir.

Tous les jours, il faudra défendre si je suis encore maire et si Cooky est encore Comtesse. Si vous avez besoin de quelque chose, nourriture ou autre écrivez moi, je vous vendrez des denrées en livraison à domicile «  produits réservés » .  Brune peut vendre aussi du maïs. Bon évidement, je ne dis pas ça pour les assaillants, quoique, ce sont des hommes et femmes comme tout le monde… enfin je crois.

Ce matin l'armée de Memento est devant la ville de Pau, pour nous attaquer, vu que je n'ai pas eu un coucou  ni bonjour ou salutations ... Alors puisqu’il est ainsi, BATTONS-NOUS !

Mais pour tous, Amis ou Ennemis Paix à votre âme.

Susi,

PS c’est mon anniversaire le 16 juin, j’aimerai pas mourir avant.

Enfin,  ici aussi le curé est une feignasse : le confessionnal est fermé et j'ai tous les vices au taquet ! Et les vices, ca pèse lourd quand on a rencard avec Saint Pierrot. Il y a urgence ! Ce soir, ce sera peut-être la bataille finale tant attendue pour AËlig, le terminus. Voyez déjà l'épitaphe :

Ici gît Aëlig de Mirabeau,
Bourgeois réformé,
Héros genevois,
Tué à Pau par riri, fifi et loulou...

Citation :

Armée "Les Castors Béarnais " commandée par Oredon
L'armée est aux portes de la ville

Oui, enfin...Du coup là, j'ai quand même un doute.

Spoiler:

Blanchedec : ah, parce que vous, vous faites prisonniers la comtesse, la bailli la prévot, un maréchal la mairesse le curé et encore un Béarnais ?
Aelig : J'vieux bien une pinte également, sic'n'est pas trop abuser.
Feratus : Et encore, il y a des cumulards !

Voilà, la résolution des combats aurait pu être réglé victorieusement, après trois tournées générales avec ce beau monde, si et seulement si Aelig ne s'était pas pris les pieds dans un de ces tapis de Snagov qui tapissaient toute la taverne, façon orientale, avec les poufs et le narguilé. La bourgmestre de Pau, Susi de Niraco Chambertin Gilly, avait été bourgmestre de Snagov. La compagnie était fort sympathique au demeurant. Ils ne savaient pas trop ce que cherchait Namaycysh dans le coin, AËlig non-plus. Du coup on s'trouva des points communs malgré les différents et notre Aelig donna rendez-vous plus tard à une brune sur les murailles : Visez droit le cœur Madame !

Que faisait Aelig à l'interieur des murailles avant même le début de l'assault, diriez-vous?  Une histoire de porte, encore.
Susi : Vous, vous êtes plutôt du genre à lire les cartes à l'envers
Aelig : Ah c'est marrant, ils disent ça aussi dans ma compagnie
Susi : je sens les gens.

Mais pour dire vrai, il cherchait le confesseur, opiniâtre qu'il était. Il y avait toujours une poterne ouverte dans les enceintes, s'en était devenu une légende urbaine à force. Et le diacre,  il le trouva enfin, à cheval sur un tonneau, à faire la messe et les réponses avec.

La nuit, combat il y eut, mais il ne revit point la brune. A la place, ce fût le Père Castor qui se battit comme un ragondin, seul contre cinquante.

Citation :

10/06/1466 04:09 : Vous avez frappé Oredon. Ce coup l'a probablement tué.
10/06/1466 04:09 : Vous avez frappé Oredon. Ce coup l'a probablement tué.
10/06/1466 04:09 : Vous avez engagé le combat contre une armée.

Allez hop !  Roulement de tambour.

Chapeau bas.

Cette nuit, ce fût bowling. La question du jour est : Où est la Memento ?

Je vais paraître con, mais... T'es de quel côté ?

T'as reflexion n'est pas si con que cela dans le fond, mais d'un point de vue IG, hier je n'étais plus dans la Memento. J'ai reçu un courrier de la logisticienne puis de Namaycush, qui lui m'invitait à me rendre à son camps, mais personne c'coup-ci pour me demander ce que je foutais dehors. Pas faute d'avoir prévenu, mais ils doivent être débordés. Sont quand même aux petits oignons à la Memento. Donc, j'ai laissé filé et je  me suis dit que demain ils me proposeront peut être une embauche. Et là, ce matin, plus de Memento :  à la place, deux armées débarquées cette nuit.
Après je ne suis pas encore au fait de l'actualité de la journée.

Quoiiiii ? Tu te bas dans les rangs de Memento ????

Ben oui, depuis Muret, quelle question.

Faut que tu demandes aux deux armées où elles vont et si elles peuvent te rapprocher.

Ahahaha !

Par Deos! Moi qui ne rêve que de leur mort ....

Non mais ceux la n'iront pas loin. Ils ont quand même mobilisé 70 bonhommes et rien à se mettre sous la dent. Namay s'est replié, la palissade était trop haute à franchir. Tout le monde veut tuer Namaycush. Il est banni de partout et excommunié. Moi j'mebpose un peu. Ca été beaucoup d'efforts d'un coup de suivre tous les soirs. Faut que je m'en remette.

oui repose toi, tu as raison

J'en connais une autre qui devrait prendre du repos

(AËlig est une feignasse, ça on le sait, c'est le joueur qui a besoin de dormir en ce moment. Ca ira mieux la semaine prochaine)

Ah? Qui donc?

( ah ben repose toi aussi ^^)

11 juin 1466. (et un peu à la bourre dans mon journal. Siège de Pau par la Memento, Aelig a rencard sur les remparts )

Brune a écrit:

Une légèreté voulue couvre au soir les traits tirés des uns, les blessures des autres, l'inquiétude et les espoirs de chacun. Au combat palois, tous tiennent à leur Pau et se préoccupent de celle des autres. Les stratagèmes plus ou moins farfelus fleurissent, c'est encore le printemps, même si Namaycush veut leur faire croire à une précoce Saint-Jean.

Bleu.
Bleu sera la couleur élue.
Un profond turquin pour se marier avec celui bleuet de l'alcool à brûler. Il ne sera pas dit qu'en Béarn, même les armes à la main, l'on se laisse aller à la faute de goût.

♫♪ C'est la lutte des Béarnais ! YÉ ! ♪
♫ La lutte des Pyrénées ! YÉ ! ♫♪ »
♫♪ Qui n’sont pas des planqués ! ♫♪
♫ Ni des dégonflés ! YÉ ! YÉ ! YÉ ! ♫♪
On les aura ! Ou on mourra !
Mais on n'restra pas planqué chacun chez soi ! ♫♪

Le chant de Susi fleurit, il est l'heure de semer, mais aussi récolter. Et le combat s'engage, sous une Lune d'encre qui n'en fait que mieux ressortir ces étoiles béarnaises tant convoitées.
Mais si elle joue avec les ombres, la Lune ne ment pas, et désigne bientôt à la Brune la silhouette de son rancart raté la veille. Un reître suisse, perdu du côté des marmottes pyrénéennes. L'invitation était belle. Femme de parole, même si elle est rare, elle s'apprête à l'accueillir.

Lame au clair.
Il lui a demandé de viser juste.
Cette fois-ci, elle ne le loupera pas.

Aelig a écrit:

Youplaboum !

Oui, parceque c'est curieux ce besoin chez les combattants d'aujourd'hui de faire des phrases. Qu'est devenu l'esprit cape et d'épée d'antan ?

Cette nuit, notre Reïtre suisse avait refait surface, tel l'oiseau de nuit, même la lune était de la partie. Et que de mystère dans cette demi-clarté, juste assez pour se battre, mais pas assez pour se voir.

Citation:
11/06/1466 04:09 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Pau.


C'coup-ci, c'est du côté des remparts que notre héros réapparu. Et autant vous dire qu'il fallait jouer des coudes, des pieds et des mains pour arriver jusque là : Les bonnes places étaient cher et il y en avait pas pour tout le monde.

Donc cette nuit, on avait grimpé à l'échelle, mais comme on avait une échelle pour deux, l'autre couillon d'en bas l'avait retirée, alors qu'il venait juste d'atteindre le parapet. Et c'est dans un long moment de solitude qu'il resta perché, suspendu dans le vide, tel l'équilibriste sur le fil de sa vie, à se dire qu'au lieu de faire le couillon à Pau, il pourrait, là en ce moment, être au chaud à pantoufler à la Diète de la Confédération. C'est qu'on a plus l'âge de ces conneries.
Mais au prix de longs et d'indescriptibles efforts, à se demander lequel de ses pêchers le rendait si lourd, il réussit à se redresser et regagner le chemin de ronde. Et là, évidemment, personne.

Peut être étions placé du mauvais côté de la ville.

C'est alors qu'apparue une préposée à la défense. Et si la lune ne mentait toujours pas, c'était bien elle. AElig recoiffa sa mèche pour être à la hauteur de la situation, l'épée basse, elle, la lame au clair donc...

- Mademoiselle Brune, Si je puis me permettre, vous devriez faire attention : votre épée est indécente, elle aime se montrer nue...

Brune a écrit:

|Nuit du 10 juin, suite]

- Mademoiselle Brune, Si je puis me permettre, vous devriez faire attention : votre épée est indécente, elle aime se montrer nue...

Elle le serait, si elle n'habillait ma main...

Curieux face-à-face sous un éclat de lune, d'un attaquant à l'arme baissée, d'une défenseuse qui rechigne à cet instant à porter le coup pourtant presque offert. Curieux face-à-face en haut de ces remparts assiégés, dans un irréel échange de mondanités, alors que les déflagrations de l'artillerie font trembler les remparts, que les flammes embrasent cette nuit, que le carmin et le turquin font siffler leurs flèches et gémir leurs lames entrecroisées. Non, ils ne sont pas dans un salon mondain, les pieds au chaud sur les chenets, et si délicates friandises ils s'échangent, elles sont éphémère répit dans le fracas des armes.

C'est la guerre. A-t-elle le droit de l'oublier, ne serait-ce qu'un instant, alors que tous se battent et que la nuit chahutée se tordra jusqu'aux premiers frémissements de l'aube ? Les onyx luisent, nuit dans la nuit, et un fragment de sourire vient attraper une parcelle de lune.

Mais je puis me couvrir si cette vue vous offense.

Suspension d'un instant éphémère où l'éclat de la guerre s'assourdit. La Tailleuse s'incline face à cette épée qui ne se brandit toujours pas, et le bouclier s'interpose entre les lames baissées, pudique écran de solide cuir qui défend la poitrine de Brune et vient percuter celle du belligérant si peu belliqueux.

Elle ferait peut-être coucou au suisse, du haut des remparts. Si seulement ses doigts nouées à la poigne du bouclier ne s'étaient croisés pour invoquer un miraculeux buisson...
Elle doit bien l'avouer, cet assaillant-là a de bien plaisantes façons de faire la guerre.
Et puis, il ne faudrait pas croire : il n'est pas dans ses habitudes de balancer son rancard par-dessus les remparts...

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Col de la Fourche, sur la route de Sion, 2429 m.

Citation :

Vous vous forcez à manger mais rendez une partie de votre repas : vous n'avez du coup pas bénéficié de tous les apports nutritifs de votre pitance.
Vous vous forcez à manger mais rendez une partie de votre repas : vous n'avez du coup pas bénéficié de tous les apports nutritifs de votre pitance.
Vous vous forcez à manger mais rendez une partie de votre repas : vous n'avez du coup pas bénéficié de tous les apports nutritifs de votre pitance.

Bah v'là que je vomis ...

-Aaaaahhhhh Mortecouille ! La guigne me poursuit ! J''suis exténué ! Ca fait des heures que je grimpe !
Tiens ! mais que vois-je ? Un voyageur qui vient vers moi ! Essayons d'interroger ce frontalier habilement sans éveiller ses soupçons.

- Hep ! Auriez-vous croisé par hasard un vieux corsaire sur une mule, coiffé d'un bandeau rouge et portant un mât avec une panosse* rose accrochée au bout?

Le frontalier haussa les épaules et continua son chemin en marmonnant.

-Sono pazzi questi genovesi ! Sono Pazzi !


Deux jours de cela, le vétéran genevois était sorti d'une longue convalescence en Italie, après avoir été blessé gravement, capturé et mis en procès. Il s'échappa du tribunal de Cômo, remonta dans l'armée 'Une souriis rose" pour finir tué (légèrement) le lendemain. Il fit un passage chez Dieu le Père, qui lui annonça que ce n'était pas encore l'heure, fût ressuscité, condamné à mort, jeté en prison puis exécuté. Il refit un coucou à Déos, qui tapota nerveusement des doigts sur son bureau, fût remis aussitôt en procès après avoir êté remis vivant dans un contexte que seuls certains mystiques milanais ont la clef de la connaissance. C'est que ca vous fait perdre vingt kilos toutes ces conneries ! Le reste de son séjour à Cômo se termina près de la cheminée de l'auberge "Un petit bout d'Hélvétie" qui faisait à la fois office d'hôpital de Campagne, auberge de jeunesse et syndicat d'initiative, en compagnie du docteur Abies. C'est qu'on avait pas tout perdu dans la bataille. Il avait même commencé à tricoter un chandail tandis que l'arlésienne concoctait des shoots à base de philtres de Batoa.

Il arriva péniblement au refuge du Belvédère. dont le décor montagnard et rustique était ainsi décrit dans le guide du Montagnard, canton du Valais, édition 1468.

Citation :

La petite cabane de montagne se trouve directement sur le chemin qui mène au col de la Furka. C'est un modeste refuge qui est principalement utilisé par les bergers et les voyageurs comme abri pendant les tempêtes.
Si vous entrez dans le petit bâtiment, qui est principalement fait de bois, il fait assez sombre près de la cheminée, où il y a toujours du bois de chauffage.
L'intérieur est assez exigu mais toujours confortable et extrêmement utile. Une table modeste, deux bancs dont l'un doit être fermé et des bancs étroits qui servent d'hébergement pour la nuit sont les seuls meubles.
La cheminée sert à la fois de source de chaleur et de lieu de cuisson et dans une petite étagère on trouve les choses les plus nécessaires pour préparer quelque chose de chaud.
Directement en face de la petite cabane il y a une fontaine où vous pouvez toujours trouver de l'eau de source fraîche.

A l'intérieur, le minuscule espace était déjà occupé par une bande de chevaliers errants qu'on aurait dit allemands, à entendre l'accent tonique.

Flûte je suis tombé dans un guet-apens !

Mais l'accent s’avérait être finalement anglais ou irlandais, même que ça sentait la menthe, beaucoup la menthe. Le reître suisse se joignit au souper de cette insolite compagnie à l'invitation d'une lady :



L'Odyssée d'Aêlig ne faisait que commencer.

*serpillère

J'ai croisé hier une grosse lance d'anglais avec un bon pedigree dans le genre cape et d"épée, Robin des Bois contre l'affreux Jean sans Terre. J'ai établi le contact pour qu'ils viennent jouer avec nous, la cheffe de lance m'a dit qu'elle aimerait bien me rencontrer.

Citation :

Hello Aëlig de Mirabeau,

I am actually French but I live in England at the moment; have done for a long time. I do speak French though. Since you speak emglish it seems, that will be the preffered langugage, if you don't mind.

We are interested in hearing your tale as we like to learn about the local feuds, but we are a bit on a schedule. You don't seem to be at the same campfire as us though. Where are you, so that I can work out a place to maybe meet?

I make excellent stews and even if I am not there, I will make sure I cook a lovely rabbit or deer or boar stew for the evening, if we get to meet, whichever we get to hunt and kill on the way.

Zee

[Genève, Oceano Nox]

Vous avez du courrier

Citation :

30/01/1468 08:01 : Votre formation inflige 2 points de dégâts aux bateaux suivants : Reconquista.
30/01/1468 08:01 : Votre bateau reçoit 4 points de dégâts.
30/01/1468 00:01 : Votre formation inflige 2 points de dégâts aux bateaux suivants : Reconquista.
30/01/1468 00:01 : Votre bateau reçoit 11 points de dégâts.
30/01/1468 00:01 : Vos compétences en ingéniérie vous ont permis d'éviter un coup.

Mille milliards de !...Ornthorynque !...  Pirate d'eau douce !...  . Bachi-bouzouk des Carpathes !  Amiral de Bateau-lavoir!...Anthropophage !.. Cercopithèque !... Hidalgo d'opérette !... Schizophrène ! ...Crétin des Alpes savoyardes !Autodidacte !... Heu...Jocrisse !

- Inutile Capitaine,  Le capitaine Romain  est trop loin.... D'autant plus que nous sommes même pas à bord, ni même à Genève .

- Dis donc, matelot ! La Spagnola...Elle a coulé ?

- Oui.

-C'est pas indiqué..

- Quinze points de dégât : une nave c'est quinze points de carapace...Si

- C'est pas indiqué  :  moi je lis qu'elle a plongé puis attaqué depuis le fond du lac.

- la nave est insubmersible ?

- Non, elle est fourbe...

Spoiler: