[RP] l'Aristotélité, ce vaste monde [...] les Royaumes d'Angleterre, Ecosse, Irlande, Pologne, Kalmar, Norvège, Bretagne, Rome etc.

Citation :

17/02/1463 Un trésor coulé en mer
Paris (AAP) - Le 26 janvier 1463, l'amiral breton Pit de Guérande, duc de Guérande, donne ordre de couler un bateau artésien aux environs de Saint-Brieuc, son équipage et un trésor de près de trente mille écus. S'ensuit rapidement une indignation diplomatique de la part de l'Alliance Fatum, auquel appartient l'équipage, et du comté d'Artois.

Cet incident résulte d'événements antérieurs. Le 3 septembre 1462, Kiriell de la Rose Noire vole une caraque de guerre, pille plus de trente mille écus au trésor poitevin et se réfugie au sud de l'Angleterre. Le 12 janvier 1463, trois des membres de sa famille et lui embarquent à Dovers, dans la cogue de guerre artésienne « Harmony 2 », sous le commandement du capitaine Fidji, dit l'Ours, afin de rejoindre la France. Alors que le débarquement était initialement prévu à Calais, en Artois, le voyage se poursuit jusqu'aux environs du port de Saint-Brieuc, au nord de la Bretagne. Six jours durant, l'équipage demande en vain l'autorisation d'accoster un port breton. Cependant, le 26 janvier, l'amiral breton Pit de Guérande – la liste de l'équipage lui ayant été fournie par le capitaine lui-même – donne l'ordre à la caraque de guerre bretonne « Ar Spontus » du capitaine Linkii de couler la cogue de guerre, prétextant le pillage subi par leur allié poitevin et prétendant alors à tord que le navire flottait sous pavillon anglais. Très vite, aux environs de midi, le bateau coule, son capitaine, son équipage et son trésor avec.

L'Alliance Fatum, à laquelle appartient depuis peu la Rose Noire – mais pas son trésor –, proteste le jour même auprès du Grand Duc Lemerco et de son amiral pour qu'ils cessent cette attaque contre le bateau artésien. Mais il est trop tard. C'est ensuite l'Artois, par la voix du chancelier Albroc, qui s'indigne diplomatiquement des actes de la Bretagne et de son amiral. Cette indignation est accrue par le souvenir encore récent des attaques sur plusieurs bateaux artésiens par le passé. Ce fut en effet le cas du navire « le Madgnifique » du capitaine artésien Jehanne, coulé l'année dernière au large de l'Irlande par des navires bretons. Si le pillage du Poitou est mis en avant pour justifier l'assaut, la Rose Noire est déjà passé par le fil de l'épée pour être puni de ses méfaits antérieurs. La manière expéditive dont a été réglé le sort de la cogue de guerre artésienne serait en effet plutôt la résultante d'un conflit personnel entre l'amiral Pit et Kiriell de la Rose Noire. Malgré les excuses, officielles ou officieuses, du Grand Duc et de l'Amiral, et diverses promesses faites au comté d'Artois et à l'Alliance Fatum, l'idée d'éventuels dédommagements aux victimes est encore incertaine. Le repêchage du trésor et des débris artésiens par la caraque de guerre bretonne s’élèverait pourtant à plus de cinq mille écus. Échoué sur la plage de Dovers, l'équipage se trouve quant à lui en plein repos forcé, méditant certainement sur la manière future de rejoindre le continent le plus rapidement.

Cet incident, n'étant pas le premier, semble ajouter à la dégradation des relations entre anciens ponantais et indépendantistes, déjà rendue visible par les récents événements.

ODW, pour l'AAP

Le Madgnifique ? C'était ton bateau ?

Oui c'était à moi. Vendu puis coulé là. Une bonne chose qu'il soit coulé.

Guerre entre des Irlandais et Écossais avec des gens de Coïbra contre Lisbonne :

1)

Spoiler:

2) Appel à l'aide des Lisboètes : Phonya, halle Genf

Quelqu'un a-t-il des infos sur les protagonistes ?

- J'apprends qu'on nous a coulé un "navire genevois de guerre" ?

Lequel ????

Ignace est parti en mer mais c'est pas un navire de guerre qu'il a mais un navire marchand. Est-ce de lui dont il s'agit ?

Edit : c'est pas Ignace.
Purée... on a des bateaux dans le coin et on le savait pas...

- ça sent plutôt la coquille de rédacteur, ça.

Normal pour un oisillon...

- En attendant, c'est gênant. On va finir par croire que les bateaux genevois ne flottent pas. Fluctuat nec mergitur !

Et bien va demander un erratum à ton collègue cuicuiteur.

- A l'AAP France, on ne me cause pas. Je suis un peu personna non gratouilla.

Console-toi en te disant que tu en fus le chouchou à une époque un peu mad...

A ce propos, je cherche toujours un bateau.

Citation :

13/07/1463 Danse bretonne - Conférence pour la paix civile

Saint-Brieuc (AAP) - Alors que les temps sont à la désunion en Bretagne, certaines voix s'élèvent pour tenter de sauver la paix. C'est le cas du comte de Guingamp, Gwilherm de Harscouet, qui a réuni sur ses terres les acteurs de cette tragique danse bretonne.

Le comte de Guingamp a réussi ce qui peut être considéré comme un exploit : rassembler autour d'une même table la Main du Grand-Duc, Ascelin de Mauny ; la Duchesse de Bretagne, Ozane Kerangal ; le primat de Bretagne, Tadeus94 et les deux ducs rebelles, Pit51 de Guérande et Monsieur Patate, duc du Trégor.

Les négociations de Guingamp ont commencé le 19 juin mais dans la même journée, le duc de Guérande dont l'armée contrôlait Brest quittait la table des négociations suite à l'arrivée des armées grand-ducales et ducales devant les remparts de Brest, dénonçant des négociations pièges. Toutefois, le second duc rebelle, Monsieur Patate continua les négociations pour exposer ses revendications telles qu'une plus grande autonomie pour les villes de Basse-Bretagne, l'immunité judiciaire pour lui et les siens, mais aussi que le duc de Guérande soit renommé à son poste d'amiral de Bretagne et, sûrement la plus importante revendication, le cantonnement du rôle grand ducal à la diplomatie et à son symbole.

Monsieur Patate, duc du Trégor, meneur rebelle, fait la distinction entre la Basse-Bretagne et la Haute-Bretagne. La Basse-Bretagne qui regroupe Brest, Saint-Pol de Léon, Tréguier et Saint-Brieuc tandis que la Haute-Bretagne regroupe Rohan, Vannes, Rieux, Fougères et la capitale, Rennes. Le duc rebelle exposa lors des négociations les problèmes qui touchent les villes de Basse-Bretagne, à savoir, des villes avec une faible démographie, des gestions des ports et de la pêche complexes et un enclavement loin des frontières terrestres. De plus, le duc du Trégor en a profité pour dénoncer l'abandon de ces villes par le duché et le peu de représentation de ces villes au niveau ducal.

Parmi les revendications des ducs rebelles, nous devons aussi prendre en compte un point non évoqué jusqu'à présent : ces ducs rebelles font parti de la génération de soldats bretons qui permirent au pays d'acquérir son indépendance lors de la Guerre sans Nom comme elle est appelée en Bretagne, contre les troupes du Roi Levan III. Ces rebelles dénoncent une Bretagne devenue faible, menée par des juristes qui petit à petit détruisent l’œuvre accomplie par le sang des soldats bretons tombés. Ils souhaitent débarrasser la Bretagne de cette génération de « faibles », comme ils disent, pour lui rendre sa grandeur d'avant.

Cet article conte les évènements jusqu'au 22 juin, la conférence pour la paix civile se trouve dans l'impasse, le duc de Guérande ayant quitté la table des négociations suite à l'attaque des forces loyalistes sur son fief de Brest.

Doran, pour l'AAP

Citation :

16/07/1463 Danse bretonne- Bataille de Brest

Saint-Brieuc (AAP) - Durant la conférence pour la paix civile les forces loyalistes avançaient sur le terrain, forçant Pit51, duc de Guérande à quitter la table des négociations et rentrer à Brest afin d'organiser la défense de son fief.

L’appellation « Bataille de Brest » peut être remise en question puisque les combats ont été quasi inexistants. En effet, les seuls affrontements qui nous ont été rapportés sont des révoltes menées dans l'enceinte même de la ville. La défense de la ville était organisée par Tatoo, duc de Crozon, et par Pit51, duc de Guérande tandis que le sieur Ylan menait la révolte.

Face aux murailles de la ville, deux armées loyalistes assiégeaient la ville mais la prise de la ville viendra bien de l'intérieur. Dans la nuit du 22 au 23 juin, les révoltés parvinrent à ouvrir les portes de la mairie et à prendre possession des lieux. À la grande surprise des révoltés, aucun garde n'était présent tandis que les finances de la ville et ses réserves avaient disparu, deux mandats ducaux avaient aussi été emporté.

Au petit matin, les nouveaux maîtres de la ville se rendirent compte que toute la flotte de guerre avait quitté le port. Le duc de Guérande et ses hommes s'étaient évaporés sur l'océan.

Le drapeau du Grand-Duché de Bretagne fut de nouveau levé sur les remparts et les lieux officiels de Brest. Toutefois, cette première victoire loyaliste fut assombrie : lors de son départ, le duc de Guérande parvint a prendre le contrôle de 4 navires appartenant aux hommes du duché ou bien à ceux du Grand-duché. Ces navires seront par la suite déclarés pirates par la chambellan de Bretagne dans une déclaration datée du 27 juin.

Après la reprise de Brest, les armées loyalistes prirent la direction de Tréguier, dernière ville tenue par les rebelles, tandis que des volontaires de toute la Bretagne rejoignaient tantôt les armées loyalistes, tantôt les positions rebelles. Un choc réel et sanglant se préparait.

Doran, pour l'AAP.

Ce ne sont pas pour des raisons religieuses mais Pit de Guérande a fait couler

le bateau de l'Inquisiteur Cathelineau., " La grande Hermine" ce 25 juillet.

Le curé l'a mauvaise, il déclare :

Citation :

Ce navire était de la Marine Pontificale, une demande d'excommunication a été rédigé et envoyé à Rome contre tout la clique.

J'ai aussi demandé au Cardinal Connétable de placer toute la clique comme ennemi des Saintes Armées, puisqu'ils n'hésitent pas à nous attaquer.

Vu le nombre d'armée qu'ils ont, les Bretons sont tranquilles.

Citation :

11/12/1463 Le gotha de Kalmar prend le bouillon

København (KAP) – Tentative de régicide dans les eaux danoises.

Pendant l'après-midi du 5 décembre, un convoi armé a ouvert le feu sur le navire de la marine royale suédoise "La veuve chaude". Au moment de l'attaque, ce bateau conduisait les manœuvres militaires conjointes des forces suédoises et danoises sous la commandement du roi de Kalmar, Vigfast Valdemarsson. Le navire amiral s’est défendu et a répliqué à l'agresseur, identifié plus tard comme le "Concupiscence de la Reine", connu pour être commandé par Distan Delasta. Les deux bateaux ont sombré dans la bataille. Un deuxième agresseur, voyageant en convoi avec le "Concupiscence de la Reine", a tenté de s'échapper mais a été intercepté et finalement détruit par les forces suédoises et danoises coordonnées.

La tragédie s'est produite seulement quelques heures après le début des manœuvres militaires baltiques communes de cette année, "opération Fleetwood Mac", destiné à améliorer l'état de préparation contre le nombre croissant d'actes de piraterie conduits dans la région. Les sources bien informées ont déjà indiqué que cette tentative révèle une nouvelle dimension dans l'activité pirate, jusqu'ici aucun régicide n’avait été tenté en mer. Un porte-parole a annoncé aujourd'hui que le roi Vigfast, sérieusement blessé dans cette attaque délibérée, récupère et que les nations baltiques discuteraient en ce moment sur une réponse appropriée.

Le comté de la Hollande a déjà proclamé que la "Concupiscence de la Reine", un navire battant pavillon néerlandais, ne relevait pas du Conseil néerlandais.

Traduction de Stéphane Friberne pour l'AAP, agence Meuse, Saône & Rhône

J'aime bien le titre

Moi qui croyait qu'il n'y avait que des sirènes lubriques en tutu de ballerines aquatique la haut.

Citation :

02/05/1464 Na zdrowie ! ça trinque en Pologne.

Cracovie (KAP) – Pawo72, bourgeois de Cracovie et juge de la Principauté du même nom, a annoncé qu'il démissionnait de ses fonctions. L'homme s'oppose au Conseil qui aurait ordonné la destruction d'un navire. Le litige porte en effet sur le naufrage de la barge «La Victoire».

Le Juge de Cracovie estime que cette attaque est une manifestation de la tyrannie du Conseil, Ce dernier explique le naufrage par le fait qu'il y a eu amarrage illégal et transport de personnes ennemies de la Principauté de Cracovie.

A seulement vingt jours à cheval de Dole, le conflit semble renflammer des braises encore chaudes d'une violente guerre civile. Sur ces navires naviguaient plusieurs anciens Rebelles à la Couronne et selon le Conseil, des voleurs enfuis avec l'argent gagné dans la guerre contre le Duché.

Casimir pour l'AAP agence Meuse, Saône & Rhône

Citation :

06/05/1464 brève - Pologne et Moravie s'accordent à Auschwitz

Cracovie (AAP) – Ce 4 mai à Auschwitz, a été signé un traité de paix entre le Royaume de Pologne et les terres de la Couronne tchèque.

Il scelle la nette victoire de la Pologne lors de la dernière guerre. La Couronne tchèque s'engage à verser une indemnité de 10.000 couronnes, présente ses excuses officielles pour l'attaque du duché de Cracovie, et rompt toutes ses relations avec les Rebelles polonais. En outre, les protagonistes sont revenus au statu quo territorial. Les deux nœuds 1276 et 1277 frontaliers du Margraviat de Moravie, précédemment annexés par l'armée tchèque ont été recouvrés par le Duché de Cracovie qui a libéré les prisonniers de guerre qu'il détenait encore.

Casimir pour l'AAP agence Meuse, Saône & Rhône

Chus un peu curieux. Quelqu'un s'y connaît en géopolitique orientale (ou Casimir à défaut^^) ? Pasque, Pologne, j'en vois 3 potentielles : Masovie (5 villes), Cracovie (6 villes) et Chaispakoipolski (5 villes).
Et Couronne tchèque, me direz-vous ?
Ben justement : Brno, ville unique et capitale.
Tu m'étonnes qu'ils s'excusent